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- Carl Seydlitz
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Oh, let the sun beat down upon my face, stars to fill my dream.
Oh, laisse le soleil caresser mon visage, les étoiles remplir mon rêve
I am a traveler of both time and space, to be where I have been.
Je suis un voyageur de l'espace temps, pour être là où je suis,
To sit with Elders of the gentle race, this world has seldom seen.
Pour m'asseoir avec les anciens de la noble race, que notre monde a rarement vu
They talk of days for which they sit and wait, and all will be revealed...
Ils parlent des journées qu'ils ont passées assis, à attendre que tout soit révélé
Talk and song from tongues of lilting grace, whose sounds caress my ear.
But not a word I heard could I relate, the story was quite clear.
Ils ont parlé et chanté d'une langue à la grâce musicale, dont les sons caressent mon oreille
Mais je ne peux pas raconter un mot de ce que j'ai entendu, l'histoire était très claire
Oh, I've been flying... mama, there ain't no denyin'...
I've been flying, ain't no denyin', no denyin'...
Oh, je me suis envolé... mon amour, c'est indéniable...
Je me suis envolé, on ne peut pas le nier...
All I see turns to brown, as the sun burns the ground.
And my eyes fill with sand, as I scan this wasted land,
Trying to find, trying to find where I've been...
Tout ce que je vois devient brun, lorsque le soleil brûle le sol
Et mes yeux s'emplissent de sable, lorsque je scrute cette terre aride,
Essayant de retrouver, essayant de retrouver là où je suis allé...
Oh, Pilot of the storm who leaves no trace, like thoughts inside a dream,
Heed the path that led me to that place, yellow desert stream.
My Shangri-La beneath the summer moon, I will return again,
Sure as the dust that floats high in June, when movin' through Kashmir...
Oh, Guide de la tempête qui ne laisse aucune trace, comme des pensées dans un rêve,
Fais attention au chemin qui me mena à ce lieu, la piste jaune du désert
Mon paradis terrestre sous la lune d'été, j'y reviendrai à nouveau
Aussi sûr que la poussière qui flotte haut en juin, lorsque l'on s'enfonce à travers le Cachemire
Oh, Father of the Four Winds, fill my sails, across the Sea of years,
With no provision but an open face, along the Straits of fear.
Oh, Père des Quatre Vents, gonfle mes voiles, à travers la Mer des années,
Sans provisions mais le visage ouvert, le long du Détroit de la peur.
When I'm on, when I'm on my way...
When I see, when I see the way, you stay.
Quand je suis, quand je suis sur ma route...
Quand je vois, quand je vois le chemin, tu restes.
Ooh, yeah-yeah, ooh, yeah-yeah, when I'm down...
Ooh, my baby, oooh, my baby, let me take you there !
Let me take you there !
Quand je vais mal...
Mon bébé, laisse moi t'emmener là-bas !
Laisse moi t'emmener là-bas !
Cachemire de led zepellin
Le background a été écrit en janvier 2017 et je pense qu'il est temps de le faire évoluer, c'est pourquoi je vais vous en dire plus sur une des facettes de l'histoire.
Le projet Phénix et ce vaisseau qui orbite autours de la terre en 2060, et le projet parabola qui est la cause de cette situation étrange en tchernarussie, mais...il y a encore bien des mystères dans cet univer
Voici la 4iémé partie de la chronique de Relic, qui seras constitué de plusieurs chapitres:
-la fille a la cigarette quantique.
-la flamme de la nébuleuse d'Orion
-Les lueurs derrière la montagne hallucinée
-la lumière dans les ténèbres
-opération "wet macthbox"
-Les porteurs de la flamme
-Le voyageur qui pleurait son foyer perdu
Dernière édition par Carl Seydlitz le Sam 18 Nov - 21:16, édité 8 fois
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- Carl Seydlitz
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Je sens un voile de lumière comme une caresse sur ma joue...la couleur perce ma rétine gauche...La douleur reviens...une goutte d'eau frappe mon front...
-combien de lumière monsieur carré dit une voix dans l'ombre.
Je ne le voit pas, il est dans ma vision périphérique...je ne peut le regarder; mes yeux sont grand ouvert immobile, dispositif ophtalmique....la lumière pénetre directement dans mon cerveau, creusant un tunnel jusqu'au plus profond de mon esprit....mon ame, ils veulent mon...
Je panique, j'ai peur je ne devine qu'une forme tapie, poisseuse, inhumaine, arachnéene....je vois les trois lumiéres dans le noir total.
-il....yen a trois bredouille carl aprés un instant
-mauvaise réponse dit la voix, il y a quatre lumière monsieur carré.
Carl entend un bruit d'eau et on l'éclabousse de nouveau, puis c'est le choc électrique qui parcourt son corp, hurlement et fondu au noir....rideaux.
Carl est dans une prison, où ? Quand ? Il ne sait pas.
Il se souvient d'avoir été intérrogé des dizaines de fois, toujours la meme question "combien de lumière ?" Carl en voit trois, le tortionnaire en veut quatres, ca n'a pas de sens !
Il n'y a pas d'échappatoire, pas de questions où il pourait inventer un truc, mentir, gagner un peu de temp.....maudites lumières !
Un petit bruit attire son attention, un rongeur a entrepris de voler quelques miettes du repas du prisonnier, carl ouvre l'oeil droit et contemple la petite bète....il se souvient soudain alors d'un autre interrogatoire...un autre lieu....un autre temps....
]La salle baigne dans une lumière dorée. Tout fait penser au cabinet d'un docteur du vingtième siécle, carl regarde le bureau high tech où jouent deux petits mammifères de type hamsters.
Assis en face de lui le docteur uruka hertier un franco-canado-senégalais releva un bref instant le regard de l'ecran où défilé un rapport.
Le docteur Hertier avait les traits doux des métis, des cheveux mi-longs, et des yeux bleu-gris. La combinaison verte du personnel médicale était renforcé par une blouse blanche immaculé, digne d'un toubib du vingtième siècle; a part les cheveux; il était assez convaincant.
-ce ne sont que des jouets monsieur carré, pour les enfants; vous comprenez ?
Il avait dit ca sur un ton condescandant qui irita carl.
-Je n'ai pas la phobie des rats siffla le francais
Le docteur releva les yeux et soupira...HUM vos examens et test sont très bon, le QI est pas mal, votre QE est remarquable, vous avez penser devenir bio-log ou...
-Je pige pas !? Vous devez m'expliquer ce que je fous ici dit carl en pointant un doigt sur le gigantesque hublot donnant sur l'espace...
-il y a une semaine avec mon équipe on étaient en tchernarussie et....
Ç'était il y a cinquante ans monsieur asséna le docteur avec force.
Carl sentit le sol s'ouvrir sous ses pieds, tout ce qu'il observait depuis une semaine, cet impression d'étre dans un épisode de star-trek.....il s'effondra...
Le lendemain carl recut trois visiteur a l'infirmerie.
Le trio menait par le docteur hertier avancaient dans le réfectoire du pont-hopital du vaisseau phénix, deux femmes en bleus suivaient le franco-canado-sénégalais Carl a sa table, assis face a l'immense baie d'observation regardé sombrement la planète couleur de rouille qui était si bleu autrefois.
Le docteur s'éclaircit la voix est déclara....Hum hum monsieur carré je vous présente les directrices prim....il fut interompu par une voix séche a l'accent slave...Nous n'avons pas le temps pour ces foutaises ADS hertier !
La femme en combinaison bleu devait avoir cinquante ans, des cheveux blonds coiffés en chignons et des yeux verts curieusement froids...métalliques.
Elle jeta un oeil au docteur tétanisé et a l'autre femme et poussa un soupir.
-on perd notre temp ! Déclara t"elle en sortant un objet bizarre de sa poche, un genre de cigare de plastique de 10 centimètres.
L'autre femme, une grande brune trentennaire au cheveux bouclée ne prétait pas attention a la scène....elle contemplez la planète.
Elle s'arracha avec difficulté a ce spectacle et reporta son attention sur le francais assis; Nous sommes les directrices primats, Karpeski et Rosen, et nous allons vous expliquez ce que vous faite ici.
Carl eut la chair de poules...cette voix ?! Et en plus c'était un trop belle femme pour etre réelle, ces yeux bruns étaient, parfait ?
Carl eut un frisson, une intuition, il y a un truc louche chez cette fille !
Mais il écouterait tout ce qu'elle allez lui raconter.
Dernière édition par Carl Seydlitz le Lun 6 Nov - 16:44, édité 5 fois
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- Carl Seydlitz
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- vous avez rencontrer des petits-gris ? Dit carl étonné.
-oui et non, répondit la brune; ce vaisseau etait presque a la dérive en orbite de saturne, nous avions prévut une attaque, une vengeance pour ce que ces gens on faient a notre monde. Elle jeta un oeil vers la baie d'observation, la planète terre ravagé par le virus exo.
-mais il n'y avait plus de pilote, et nous n'avons trouvé aucune trace, ni indice que le virus venais de cet engin.
Haa fit carl, il y a peut etre plusieurs éspèces de petit bonhomme vert qui....
La fille éclata de rire, mon grand pére m'a dis que vous étiez rigolo!
-hé vous étes la fille de rachel ! Dit le francais en montrant du doigt la jeune femme.
Ce geste grossier mis encore plus mal a l'aise le docteur hertier, et la femme blonde eut une grimace de mépris en ouvrant son padd.
Le cylindre noir s'ouvrit en deux comme un papyrus holographique projetant une lumière bleuté.
-oui je suis Lindsey rosen, vous étiez dans le meme groupe que mére et monsieur Troutmann, avant que vous repartiez pour...
Elle saisit la main de carl et la serra, enchanté ! La tension, diminua dans le réfectoire.
-bref, nos connaissances actuelles et contact avec des entités extraterrestre sont trés limité, sois ils se cachent, sois ils ont tous disparu, comme les anciens propriètaires de ce vaiseau, qui est devenue le refuge de l'humanité.
-il y avait de la place pour tout les survivants et un système de survie adéquate, et bien d'autres choses que nous avons dut comprendre, et explorer, ce vaisseau est gigantesque avec de la technologie incompréhensile, mais nous avions...
-une pierre de rosette ? Interompit carl.
-oui exactement, c'est Machina, une intelligence artificielle qui gére la maintenance et bien d'autres choses, elle nous a apprit bien des choses sur la nature de l'univers et aprés une quarantaine d'année nous somme revenu...
-Vous avez trouver des gens ? Demandat il plein d'espoir, mais il comprit vite devant l'expression de lindsey que...
-non, personne....qu'une planète ravagée par une attaque bactériologique, mais nous avons pensé que la nouvelle technologie....hélas le virus est devenue incontrolable et la seule solution était de fouiller dans le passé....
-le passé sauvera le futur bafouilla t'il, cette idée, cette phrase ? Où avait'il entendu ca ?
La fille brune recula sur son siège brusquement" comment vous connaissez le dicton de...." elle se resaisit et décida d'examiner visuelement ce drole de type.
-Bon et bien je crois que nous allons libérer ce bon uruka, il doit avoir des patients a....le docteur sursauta, il etait libre ! Les directrices avaient l'air satisfaite de son travail, il salua et tourna les talons pour s'éloigner...
La directrice karpiski le regarda et dit "tous des guignols ces philogs" puis elle se replongea dans son papyrus électronique.
-le projet Parabola est top secret monsieur carré dit la diretrice Rosen avec douceur, c'est trés ambitieux et ne peut etre divulger a tout le monde.
Nous sommes allez cherchez les informations sur le virus dans...le temps, elle leva la main et avec son doigt elle traca une parabole devant les yeux du francais;
-vous étiez dans les teams alpha a la recherche du groupe de l'OMS qui travaillé sur la manipulation du virus exo par un groupe non identifié, nous voulons un update complet de l'avancement de vos travaux et la liste et les noms de tout les intervenants. Dit la femme blonde sans respirer ou presque.
-Quoi ?!? Fit carl surpris par la question.
-Vous éte Frenchy des bulldogs ? asséna la directrice karpiski en s'avancant vers la table, il y a combien de lumières ? continuat'elle en hurlant !
Carl regarde sans comprendre le beau visage de linsey rosen qui disparait devant lui, disparaissant dans l'espace, il n'y a plus que le ciel étoilé et bientot plus rien...que la cellule sombre et un rat qui regagne son trou...
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- Carl Seydlitz
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Depuis combien de temps ? Je ne sais pas ! J'entend un petit bruit...le rat est de retour....je remarque un éclat de lumière dans le mur de la cellule, une grille a moitié déglingué....la petite bestiole doit venir de là.
Je m'approche en rampant de ce trou de souris...je peux boucher l'entré, mais...ce serait me priver de ma principale distraction....
Perdu dans mes sombres pensées, j'entend un murmure, une femme chante ?! Je ne distingue pas clairement les paroles ni la langue...ca vient de la grille, d'au-delà la grille, ou du tréfond de mon esprit malade.
-je suis dingue ? Je demande a voix haute; "non je suis un psychiatre, je devrai le savoir si je souffre d'un état psycho-pathologique !" Je suis pris d'un fou rire, le psy qui s'analyse ! Vraiment hilarant !?
La chanteuse ne chante plus, j'aurai dut savoir que c'était dans ma tète, je suis tout seul, je n'ai parlez a personne sauf a ce type dans l'ombre avec sa voix déformée qui me pose cette question " combien de lumière monsieur carré ?"
-helooo murmure une voix timide dans le monde d'au-delà la grille.
Je suis saisit, ce n'est pas mon imagination ! Une violente lumière m'aveugle, je suis dans un espace blanc, pas de sol,
Pas de murs, pas de plafond, rien que du blanc, et puis tout change..
-Hellooo monsieur carré dit la directrice Rosen en entrant dans la chamre d'hopital high-tech de l'infirmerie du vaisseau Phénix, elle sourit a carl en regardant les écrans holographiques du bio-bed.
-Hohoho vous étes en parfaite santé, a part que vous tombez souvent dans les pommes ces derniers temps !? ...après je suis pas bio-log....non, je fais semblant de tout savoir, avec un air supérieure, et..c'est ce que tout le monde attend d'une directrice primat....n'es ce pas ? Finissant sa tirade, elle a un geste de dépit...mais....bref...
-Machina, éléve un champ de confinement de niveau 3 autour de cette chambre...son ton a changé elle est sérieuse.
- Champ de confinement niveau 3 actif. dit une voix de femme sortant de nulle part.
-bien, bien, bien je vais vous parlez du projet Parabola dit la jeune femme brune en regardant un carl qui regarde un peu partout autour de lui, comme si une autre minette allais sortir de sous le lit, d'une armoire, d'un trou de souris.
-vous avez remarquer que notre technologie est...elle ouvrit les bras pour englober tout les éléments technologique de la salle...et bien nous avons ausi fait des progrés dans tout les domaines de la science, la découverte la plus extraordinaire est la nouvelle théorie de la relativité intégré....il n'y peronne sous votre bio-bed monsieur carré, c'est la voix de Machina, ne faite pas le bébé et écoutez moi !
- scusez moi, je pense avoir déjà entendu cette... essaya carl, mais ses pensés était trop embrouillé...
-gngngngngn gromellat'elle, puis elle inspirat et reprit " nous pouvons ouvrir un tunnel spatio-temporel entre deux espace-temps, et c'est exactement ce que nous avons fait entre ici et maintenant et la tchernarussie du début du vingt et unième siècle.
-Vous pouvez voyager dans le temps ! Mais vous pouvez intervenir pour...dit carl fasciné par les possibilités infini.
-Hélas non, toute matiére envoyé dans le tunnel a intrication est désintégré a l'impact....il y a eut des dizaines de volontaires qui sont mort dans cette expérience, jusqu'a ma mère....elle s'arréta de parler, et approcha une chaise du lit et s'assit.
Carl observa le jeux des émotions qui passaient sur le visage de la fille, il sentit comme un schéma, il y avait un truc bizarre !
-ma mére a compris qu'en envoyant le clone d'un certain individu dans le tunnel,
Il ne serait pas désintégré, seuls 5% des humains ont les caractèritiques génomique pour servir de clones, mais c'est une autre histoire...
-Le problème majeure était de pouvoir transporté sur site; la tchernarussie des opérateurs et des scientifiques en pleine possesion de leurs moyens.
-Nous avons solvé le problème en bio-ingénierie, nous somme capable d'extraire d'une séquence ADN meme très détérioré, ce que nous pouvons appeler l'ANIMA, l'esprit, l'ame....et ainsi réunir l'esprit et le corp...elle fit un sourire au francais qui était estomacqué par ces révélations.
-C'est pas possible ! Réussit il a dire...
-pour le matériels des commandos, il a fallut etre créatif, et triché un peu. Continuat elle sur un ton enjouée.
-On prend les objets dans la sphère spatio-temporel de sortie du tunnel et on déplace tout par téléportation a intrication-quantique, ce qui...
- one to beam up monsieur o'brien ! Dit carl, "vous avez des télétransporteurs, comme dans star....
Elle l'interrompit en lui faisant un signe qui disait "tu va bien fermez ta gueule avec ces conneries sur star-trek" carl avait déjà vut des femmes s'énervé sur ce sujet et il choisit de se taire...
-non vous n'écoutez pas, je vous ait dis que la matière organique est désintégré...et nous n'avons pas encore trouvé un moyen de.... bref, je pense que vous devez etre fatigué après toutes ces révélations...elle haussa les épaules et se leva.
-ho cadeau pour vous ! Dit elle en tendant un cylindre noir au francais; "terminal papyrus, c'est un terminal informatique luminique qui vous permet d'accéder a la bibliothèque du vaisseau, on l'ouvre comme ca !"
Carl regardat avec fascination l'écran bleuté, comme un enfant le 25 décembre,
"Ho ben merci !"
-Machina ouvre un profil pour monsieur carré dit la directrice qui s'amusait de l''attitude de carl.
-Profil BABY ouvert madame la directrice dit la voie de l'intelligence-artificielle.
-profil quoi ! Dit carl...mais noooonn !
Dernière édition par Carl Seydlitz le Sam 14 Oct - 16:13, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Le phénix était gigantesque, vingt kilomètres de la poupe a la proue, un étage de 5000 mètres en certain endroit, un dome
Gigantesque, le padd disait "6733 ponts", exactement.
Seul cinq milles humains vivaient dans ce labyrinthe, 5000 ! C'est tout ce qui restait de sept milliards de terriens; quelques centaines sur mars et la lune et une
Poignée dans les bases comme titan.
Les couloirs n'était pourtant pas vide, les coursives bourdonnait de l'activité des robots, drone et bio-roid, qui vaquaient a leurs ocupations comme dans une ruche futuriste.
Carl cherchait le centre de commandement depuis une heure, il se gratta la tète,
"Cette fois je suis bel et bien perdu !" Dit il en regardant le padd.
-je peux t'assister baby ?, dit la voix de Machina dans le système translator.
Intégré directement a l'oreille, il permettais la traduction instantané et simultané et l'interface machine avec toute sorte de créature artificielle.
Le francais sursauta, cette infernale voix de pétasse l'irritait au plus haut point."ne m'appelle pas comme ca.....cortana !" Il sortit ca sans réfléchir.
-référenciel culturel : cortana; ouverture biliothéque, début du vingt et unième;
Catégorie jeux vidéo, halo.....ho jolie look, souhaite tu que je calque mon apparence sur ce personnage baby ?
" />
-non ! Mais non ! Quoi je....carl laissa tomber, il avait l'impression que cette intelligence artificiel se moquait de lui; "je veux seulement que tu m'indique où est le centre de commandement !"
-le centre de commandement est constitué de 43 ponts, veuillez spécifier le département exact où vous devez vous rendre, baby !
-euh, ben, je....c'est a dire, le département des gens perdus, euh !?!
-ce département n'existe pas, baby !?!
-laisse tombez dit carl en refermant le padd, comme un papyrus qu'on replie.
Moins il parlerait a ce bidule et plus il conserverait sa santé mentale.
Le laboratoire était ultra-futuriste, des écrans holgraphiques remplis de donnés imconpréhensible pour quelqu'un comme carl tout du moins.
Carl assit dans un fauteil réfléchissait au sens de la vie.
La directrice Rosen inspira une boufée de sa cigarette quantique, elle ressemlait a une star de films américain des années 30.
-vous direz a tout ceux qui le demande que vous étes un dormeur. Carl ne comprit pas la phrase de la jeune femme et elle continua; "les dormeurs sont les gens en hyper-sommeil des débuts du projet Phénix, on les as laissé dormir, il n'y avait pas besoin d'autant de personnes."
-Mais pourquoi, ne pas les réveiller ? Il y a tellement de place ici ! Dit carl.
-décision du conseil, et les derniers on eut du mal a s'adapter a notre nouvelle société, de plus il ne reste plus que cinquante dormeurs...son regard devint vague,
"Ils dorment pour toujours, n'est pas mort ce qui a jamais dort, et...."
-avec le temps peut mourir meme la mort, ouaih c'est lovecraft conclus le francais avec une grimace.
Elle lui fit un sourire, "bon vous avez compris, ce que vous éte ?"
-je ne comprend rien, je ne sais pas où ou ce que votre grand père voulait de moi, je suis obsolète, le fantome d'un autre temps, l'habitant d'un monde mourant, je sers a rien, je suis une relique...dis carl qui sentit sa dépression revenir a la charge.
Lindsey Rosen éclatat d'un rire profond. Aprés cinq minute de rigolade, pendant lasquelle carl passa de la tristesse a la colère, elle se calma et pointa un doigt accusateur sur le francais qui la regardait furieusement.
-Vous étes l'avenir monsieur carré, j'ai transformé quelques fragments d'adn en un flux d'information et avec manipulation cellulaire, j'ai recrée le controleur chef frenchy.....a partir de rien...je suis un génie, vous conprenez, les humains vont devenir immortel...nous sommes devant une percée de la science, un nouveau monde s'offre a nous....Elle se rapprocha du francais et le toucha a la place du coeur "vous étes ma créature et je vous ordonne de marcher..."
-vous n'étes pas un étre humain ! Dit carl en se levant.
Ils étaient maintenant debout face à face, la fille était légérement plus grande, elle lui tendit la main, "c'est comme ca qu'on faient, on se serrent la main ?" Dit l'androide.
-euh oui ! Je ne pensait pas serrer la main de mon créateur ! Dit carl, "enfin pas de mon vivant !" L'homme tendit la main, et la plus vielle forme de contrat fut passé entre deux forme de vie consciente.
-je suis une forme de vie synthétique, crée par un homme et j'ai recrée un étre humain, c'est fascinant non ??? Dit la jeune femme brune en séchant ses larmes.
-et je fais quoi alors ? Demandat'il avec angoisse.
Lindsey soupirat "et bien pour l'instant rien, vous allez revenir dans la masse, trouvé un boulot, vous verrez, il y a plein de jolie fille sur le vaisseau et puis...nous trouverons un moyen, il y a toujours un moyen....
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Dernière édition par Carl Seydlitz le Mer 1 Nov - 22:43, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Ce chapitre fait beaucoup de référence a la chronique de relic, le chapitre 2, que vous trouverez dans les journaux de survivant. La suite des aventures d'ayuna clarks la standardiste spatiale...
CHAPITRE 2) la flamme de la nébuleuse d'orion
Carl arrachat la grille le plus discrétement possible...pas de lumières aveuglantes, pas de sirènes hurlantes, pas de types de cuir sanglé qui te ravalent la gueule a coups de matraques....jusqu'ici tout va bien !
Il se penchat pour regarder avec son oeil valide le petit conduit d'aération, un carré de vingt centimètre, il ne vit que les ténèbres, puis aprés s'étre accoutumé a ce noir d'égoult, il crut apercevoir une petite et faible clarté..."ya quelqu'un !" Il ne pouvait pas parler trop fort....lumières....sirènes...matraques dans la face ![
Carl écoute, il sait écouter, depuis toujours,et maintenant c'est meme son métier..."helooo ya personne ?"
-non meme pas un rat!, il regarde la grille dans sa main, les bords sont tranchants et pourrait servir a setrancher les veines....mais...il se souvient de la mission, et....
-pssstt fait une voix, "attrape le caillou et la ficelle....attention "
Un petit caillou franchit le conduit noir, il y a un papier autour attaché avec un fil de laine grossier.
Avec fébrilité, carl déballe le papier, d'une éciture malhabile, on a écrit en russe;
"Remet la grille et cache la pierre, il y a trop de custode la journée, parlont plus tard. Olga."
Un autre prisonnier, des custodians !? Olga ?
Carl ne sait pas quoi penser de ce rendez-vous secret, mais il a besoin d'info sur cet endroit....
Ayuna lissa la veste jaune de son nouvelle uniforme des navigateurs, le badge du projet phénix était brodé sur ses épaules en dessous des quatres galons d'or des assistant-directeur-senior. Le couloir de la zone d'habitation était sombre et elle s'avancat vers une porte d'un air décidé.
Elle tapotat le bouton d'appel et se raidit presqu'au garde à vous, puis une pensée traversat son esprit, la queue de cheval était trop strict, les cheveux libres ??? Oui ca ferait plus....quoi !?, non elle était pas là pour coucher avec....mais non enfin voyons, il va pas penser que.....non, je vais enlever cette....elle s'apercut qu'elle avait a la main un thermo vert fluo avec un ersatz de café qu'elle voulait faire gouter a ce type....non en fait c'etait un prétexte pour...la porte s'ouvrit !
Carl jetta un oeil a l'américano-japonaise, avec un thermo sous le bras tentant de faire un truc louche avec ses cheveux, et qui lui tournez le dos.
Elle pivota rapidement et bredouilla un truc, "je..veux vous faire montrez un café..."
- il y a un souci avec vos cheveux ? Demanda le francais, puisque les mains de la fille était toujours en l'air." Je peux déjà vous prendre cette bouteille, dit il en saisissant le thermo vert fluo.
Elle redescendit ses membres supèrieures dans une position plus digne, et sourit bètement; attendant qu'il lui dise d'entrer, répondant a la question, qu'elle croyait avoir poser....puis elle s'apercut de son erreur et rougit.
-vous voulez entrer demandat ? carl avec un air amusé
Elle entra dans la cabine du francais, c'était la meme que la sienne mais elle était vide, pas de décorations, presque pas d'effet personnels, rien.
Que les meubles et équipements standards d'un appartement sur le vaisseau phénix, comme une page blanche.
-vous avez de la place...c'est bien.....rangé....chez moi, c'est tellement le souk que je dois faire venir la domo-bot trois fois par semaine dit elle un peu génée.
-ok dit carl sombrement, en secouant la bouteille thermo verte.
-il faut dire que je stocke beaucoup de souvenirs de ma mére, qui est une des responsable de la mission martienne, et quelque effets de vadek, mon frére ainé adoptif, vous le connaissez ? Elle ne cessa d'observer l'homme pour voir sa réaction, mais....rien.
- je sis un dormeur miss, je n'ai pas....d'effet, répondit il neutrement. "Je ne connai personne sur ce vaisseau, on m'a révéllé il y a trois semaines, car je suis porteur d'un gène qui peut sauver des centaines de gens."
Ayuna le ragardat consternée, et sortit de sa poche son padd-papyrus qu'elle ouvrit d'un geste brusque "j'ai gardé des vidéos de mon frère et regardez !" Elle lui montrat l'écran.
Un de film familliale, une gamine de 7 ou 8 ans et un asiatique, l'asiatique était familier a carl, mais c'est surtout le gars qui tenait l'appareil qui interpela le francais.
-tony chuchota carl, il n'avait pas revu son jumeau depuis...des dizaines d'années.
-J'ai auusi des impressions d'écrans, et des....surenchéri l'asiatique...
-Et alors ! dis carl "vous avez connus mon frère, il y a 20 ans, il allait bien, il a fondé une famille, il a.....que voulez vous a la fin ?"
Elle s'arrétat comme saisit par l'énormité de son effroyable stupidité, son frére ! Des mécanismes et des engrenages tournaient dans son cerveau, tout ce qu'elle avait éspérer ce révéler faux, vadek et les 14 autres étaient toujours manquants, et ce gars n'était pas un dormeur, antoine carré le rétro chuteur numéro douze, avait bien un frère mort en 2018 en service des équipes alphas, le controleur-chef Frenchy des bulldogs, la mission de troutmann "dite au prrof que j'ai renvoyé les reliques de..."ho mon dieu ils ont ramené le...
-je....je....je crois que j'ai besoin de....boire un truc trés fort ! Dit ayuna en se laissant choir dans un sofa immaculé.
-on peut commander de l'alcool avec le synthétiseur !? Dis carl en montrant de la téte le meuble encastré.
-oui demandez la boisson suplément 51 Répondit ayuna qui se sentais mal, elle posa le padd sur la table-basse et vide et regardat ses pieds.
Carl lui tendit le verre avec un liquide verdatre "bon vous savez qui je suis, a moi de vous poser des questions...sur mon frére !" Ayunna prit le verre et regardat carl dans les yeux, elle but cul-sec et dit" que voulez vous savoir ?"
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- Carl Seydlitz
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-tu me prète un shuriken ? demanda carl avec un sourire moqueur.
L'américano-japonaise rendit le sourire...il était dans une combinaison grise, avec une veste passe-partout.
-quoi ? Chuchotat elle.
-on avaient dit des vétements discret, pas costume de shinobi, répondit il.
-shinobi ?!? Dit elle sans comprendre...ah ouaih les ninjas...pigé ! Elle termina cette phrase par un clin d'oeil.
Mais c'etait adapté pour la mission; elle l'avait renseigné sur tout ce qu'elle savait sur les rétros-chuteurs et plus particulièrement le numéro 12, Antoine carré...mais elle savait finalement pas grand chose.
"Il avait bien une cabine ? Avait dit le francais et le cerveau d'ayuna avait explosé....un éclair de génie...oui et je sais où....puis elle avait réalisé que tout avaient dut etre placé sous scéllés....le sceau du secret, la chape de plomb sur le projet Parabola.....pour les yeux des directeurs primats...confidentiel défense.
Et puis carl l'avait manipulé...retournez le cerveau..."mais, si ces gens m'ont cherché, ramené, résuscité....c'est pour une raison...que je peut pas expliqué, ni personne, le vieux professeur rosen est en stase...et je peux pas lui parlé, je sens...
Une intuition...la musique me dit de rentrez chez moi....de retrouvez mon petit-frére, aide moi, je t'en prie..."
Bon ben, pensa ayuna, ca lui avait semblé la chose a faire....maintenant...???
Elle voyait trés bien la scéne, ils allaient la dégradée et elle finirai sa vie dans une des usines du pont 56, elle ne saurai jamais pour Vadek et les autres chuteurs, pas d'exploration de la voie lactée sur la fléche d'orion, le nouveau vaisseau avec le moteur qui plit l'espace...elle alait chialer comme une gamine...
-J'ai besoin de toi pour ouvrir la porte, après...dit carl qui sentis l'ombre d'un doute s'insinué dans l'esprit de la jeune femme.
-ok dit elle a sa grande surprise, "oh bordel de fucking holy shit, je vais le faire ! "
Le couloir était sombre, quart de nuit, sur le vaisseau on essayaient de recrée un cycle terrestre pour le personnel humain.
Les conspirateurs furtivement se rapprochèrent de la porte de l'appartement-cabine numéro 468B, ayuma démontat le panneau d'accé, avec une clé électronique, interverti plusieurs fiches dans le boitier et déclara "nous avons vingt minutes, en actionant le chrono intégré a sa manche.
L'appartement était propre....merci la robot-bonne qui faisait la pousière toute les semaine, des cadres photos sur les murs, une peinture, représentant une foret...non, tony n'habite pas ici, pensat le francais, puis...un détail attirat son attention. Son frère posait sur la plupart des photos, mais c'était pas le frère qu'il connaissait, ce militaire, astronaute, un air sur de lui, un peu prétentieux...avec ces gens !
Des collègues, des amis, et que dans le décor du vaisseau phénix, rien avant la catastrophe, pas de photo de famille, pas de photo de la terre;
Et il était....il était normal...
-oh regarde ! Dit ayuna qui s'était glissé a ces cotés, "il y a Vadek sur cette photo,avec matt, kamila, le fils du capitaine dimitrov, et le noir là....ca serai pas roger ?
-peut etre, il a l'air trop jeune pour etre troutmann...dit carl en froncant les sourcils.
Ils poursuivirent l'exploration de l'appart, innocupé depuis 4 ans, le locataire avait bien tout rangé, espérait il revenir ?
Carl en entrant dans la chambre se baissa rapidement en apercevant la fenètre...enfin la baie hublot qui donnait sur le port spatiale intèrieure du vaisseau.
-pas de souci, dit ayuna, "le verre est polarisé, on peut rien voir de l'extérieur et puis il faut le type en bulle-grav, qui regarde a cet instant prècis" elle s'amusait plus qu'elle ne l'avait penser, aprés tout !? Elle était douée comme ninja !
-on peut pas nous voir, mais faut évitez de hurler, a cause des détecteurs de sécurités. Dit elle en le regardant se redresser.
-qui a l'intention de hurler ? Répondit il du tac au tac.
La chambre était banal, des vétements du futur, quelques effets personnels que carl ne reconnut pas...c'était l'appartement d'un parfait inconnu.
Carl ne savait que penser....c'est ayuna qui vit tout les papiers sur la table basse du coin salon et la boite en bio-plastique et la grosse envellope transparente avec carl écrit au feutre dessus...le visage de la navigatrice s'éclairat....
-WaaaaaatttttTTTTAAAAA hurlat elle, elle plaquat ses mains sur sa bouche...stupide...stupide...yuna;;;pensat elle en rage contre elle meme.
-combien de temps ? Dit le francais
-il faut déguerpir maintenant....oh je suis tellement....essayat elle.
-pas grave ! Répondit carl en prenant la boite et la grosse envellope, puis il se dirigas vers la porte....s'arrétat...tourna la tete et vit sa complice planté dans le salon s'attendant certainement a finir sa vie en prison...
-viens ! Avant qu'ils nous balencent dans l'espace ! Dit carl le plus tranquilemment du monde.
-ah non ! J'arrive ! Dit elle avec effroi..
Plus loin, dans un bureau de sécurité, un garde endormie décidat de pas interrompre sa sieste pour une alarme, il enverrait des drones plus tard.....
Dernière édition par Carl Seydlitz le Ven 20 Oct - 19:28, édité 2 fois
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-je veux un verre...d'alcool trés fort ! Arrivat elle a dire avec difficulté.
-Tequila ? Demandat le francais qui analysait la déco de l'appart...des posters holographiques représentant l'espace stellaire, des peintures d'animaux mythologiques, des bibelots anciens, et une table remplis d'un fatras de livres...et une odeur...de café.
Ayuma s'approchat du synthétiseur et commandat sa boisson, le verre apparut et sans autre forme de procé; elle s'en emparat et le vidat culs sec...elle toussat et pleurat, puis aprés que carl lui ais mis une claque dans le dos; "t'es un malade !
Ce truc est trop fort !"
-je sais pas, je bois pas ou preque pas d'alcool. Répondit il en continuant l'examen de la pièce...
Ayuma sentit une chaleur l'envahir, la sécu allait débarquer et les emprisonner et elle s'en contre-fiché...
-bon on regardent ces affaires ? Elle regardat son complice qui hochat la tète.
Dans la boite en bio-plastique, il n'y avait qu'un petit porte clé représentant une petite ballerine en tutu rose, des jetons bizarre, rouge et bleu, un petit caillou, un gros dé a vingts face et un briquet zippo argenté...
Carl sentit une émotion le saisir, la gorge sérée, il reposa la boite sur la table. "Tu as de ce fameux café ?" Parvint il a dire.
Ayuna comprit le trouble qui le saisisait....ces objets n'avaient aucune valeurs en soi, mais pour le francais...il venait de se prendre une tonne de plomb sur la tète...
L'envellope contenait quelques feuilles de papier a grand carreaux de type écoliers souillés de matières indéfinis.
Il y avait aussi des feuillets beaucoup plus propres, comme ceux que l'on pouvaient synthétisé.
L'écriture n'était pas la meme, un enfant de six ans malhabile avait rédigé avec des pattes de mouches les pages de cahier ; un adulte trés soigneux devait étre l'auteur des feuillets.
Carl reconnut l'écriture de son frére jumeau, qui suite a un accident, était resté handicapé mental.
CARL, je mé sauvé de lopital, quan les mossieu tou gri son venu, je sui allé pour trouvé maman mé jai pas vu...
Il on tué le chien, jé caché merlin sous des caillou jen pren un, tu me dira si c'es bien.
Yavai michelle et gérard mé ils on di le méchan mo en "ol" et il mon fai partir, apré quan les mossieur gris les on mangé....jai bien rigolé
Ya des gens qui mon trouvé, tré genti ils mon donnai des rassions militerre et du chocolat, ils sont du rejet fenix.
On a parti avek des gens et y avait pleinde mossieur et peu etre des dame aussi tout gris mé jai pas eu peur...
On es monté dan une fusé de toulouse et moi jai rigolé paceque jai pensé au socisse...
Au fete jai cassé le puissanse quatre, jesper que tu sera pas faché....je doi te laissé paceque je dois dormire dan une boite pleine d'o...eau, le prof ma dit que jevé dormire lonten, a plusse
CARL jé fé un réve, et je sui dan un gros vésso, ya plein de robo rigolo et des dame avek les cheveu bleu et rose, on soccupe trés bien de moi, maman me manque et aussi kristine et eva et dominik et ossi merlin et les chas de maman a plusss
Carl, depuis deu semaine, madame kishimoto m'emmene a l'infirme...LA SICK BAY la ou ya les gens malades, on me fait passer dans un gran cercle, pour guerir le petit bou dan ma tete qui fai de moi un gogole...je sé qu'on a pa le droit de me le dire, mé si c'est moikiledi, je regarde souven la ballerine, ca me rappelle virginie,
Commen elle est jolie, et jaimerai que tu sois la dans lespasce...jai pas encor vu un klingon...mais je cherche....a plus
Ps je vais devoire trouvé des timbre pour envoyé ma lettre
Oui c'était bien le frére qu'il connaissait, il n'avait pas compris que tout le monde était mort...et c'etait peut etre mieux ainsi...au moins, lui avait été sauvé de ce cataclyme...Carl tendit les feuilles a ayuna qui les lut rapidemment...
-On la soigné de son handicap, regarde les autres feuillets, c'est aussi ton frére qui les as écrit. Ayuna tendit alors le reste des documents a carl...
Dernière édition par Carl Seydlitz le Jeu 2 Nov - 16:05, édité 2 fois
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Carl, depuis quelques jours je commence a comprendre ce qui m'arrive. Je suis dans le futur, enfin pour toi...2046 on me la dit, et la classe a visité la baie d'observation, avec la planéte de saturne et titan son plus gros satellite.
Je crois pas que je te reverrai un jour, le professeur rosen m'a donné ces feuilles et le stylo et m'a dit de t'écrire....a plus carl.
Salut mon frére
Je viens te donner des nouvelles de l'avenir, je sais que tu es mort en tchernarussie, depuis 38 ans...Avec le peu d'informations dont nous diposons, tu a été un héro, ou du moins tu a fait tout ce que tu pouvais.
Je m'entraine tout les jours car je vais faire partie du corp alpha, ceux qui vont descendre sur terre pour effectuer des missions.
Les robots-sondes que nous avons envoyé, n'on pas ramené de bonnes nouvelles, la terre est devenu un enfer mangé par la rouille du virus EXO.
Kamila m'a dit que le prélévement d'échantillon allez étre "hardcore", mais que je serai a ses cotés, alors...c'est la femme que j'aime et je veux pas la mettre en danger...
Encore quatre ans pour se préparer a la reconquète de la terre, nous verrons bien... a plus mon frère.
Cher carl, je mé sauvé de l'opital....hahaha je relis mes vielles lettres.
Nous y sommes, au point lagrange entre la terre et la lune, tout le vaiseau était en effervescence, nous sommes descendus dans nos dolphins avec nos armures du futur, nos casques hud et nos fusils gauss...Le controleur Echo a mis la musique du deuxiéme halo...j'été émus, je me suis rappellé quand on y jouaient tout les deux.
Il n'y a plus vraiment d'infectés dans les rues, mais des épèces de goule humanoide et grisatre...je les nommés les monsieur gris, tu te souviens ?
Bien sur que non, je finirai cette lettre demain...
Resalut carl, ca fait un petit moment, sans doute la dernière fois que je t'écrit.
Kamila pense que je doit te laisser....partir, pour un monde meilleur...et je,
Carl !! On vient de se porter volontaire avec kam pour un truc révolutionnaire !
Une mission dans le temps, en tchernarusie, on doient localiser l'équipe de l'OMS et ton équipe, et aussi toute les données sur le virus...chariotype des infectés et des documents a l'hopital militaire...je dirige l'équipe qui protégeras kam et mick...
je suis trés excité, et j'ai peur...pas pour moi, mais pour mes hommes...tout ca est top-secret et je vais tout bruler...avec ton vieux briquet zippo que je garde sur moi depuis....longtemps...la fumée monterat jusqu'a toi...carl, je me souviens de tout, le moindre détails de ma vie, tu m'a toujours aimé, défendu, et respecté...une fois la mission alpha faite, on iras aidé troutmann, on retrouveras ton corp et on l'enterreras avec les honneurs, oh bordel ! J'ai 180 de QI et je pleure...je vais t'éclater au puissance quatre, quand on se retrouveras au paradis, c'est promis.
Controleur principal junior merlin
Ps: tu as vu ! J'ai solutionné le problème de timbre; avec la fumée...
Pas besoin de....carl sentit le monde s'écrouler...il n'avait pas bruler les documents, pas eut le temps ou savait il que carl lirait ces lettres...il observa la table du salon d'ayuna, puit il sortit le briquet de la boite...tant de questions et trop d'émotions, une larme coulas sur sa joue, puis des torrents.
Ayuna fut prise de panique, elle savait jamais quoi faire avec les émotions, elle s'approchat de lui, caressa sa joue, et elle le prit dans ses bras...plus tard elle l'embrassa et ils firent l'amour.
Dernière édition par Carl Seydlitz le Dim 29 Oct - 16:07, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Un epace destinait a la détente et au pic-nic occupé une large zone...chaises-longues et parasols...saucisses et cocktails..
Ayuma sirotait une éspéce de boisson gluante, dans des vétements décontractés.
Carl la regardait d'un air soupconneux...."c'est trés bon je t'assure....chéri !?" Dit ayuna en tendant le verre au francais.
-ya quoi dedans déjà ? Dit carl en prenant le verre.
-élément nutritif 345 section nouriture de comfort, pas de danger pour toi Babydit la voix de machina.
Carl fit une grimace et but une gorgée; c'était infect, mais il fit semblant de rien.
Alors c'était pas si terrible dit ayuna en réupérant son breuvage.
Carl se levat de sa chaise-longue et se mit a oberver la zone, dans le lointain on pouvaient deviner un massif forestier, un fleuve et plus loin une étendue d'eau, des cris d'enfants interompire sa méditation, une cinquantaine de gosses avec leurs nounous robotiques et....il apercut des couples adultes qui se baladaient, flanaient dans la zone de détente, des adultes seuls, mais une chose le laisais perplexe.
-on voient pas de couple qui se ballade avec leurs enfants? demandat il a sa compagne.
-heinh ?!....oh! Plus personne n'a a s'occuper des enfants, le système pédagogique prend en charge les moins de quinze ans dit elle avec non-chalance.
-des robots élévent les momes ! Dit le francais choqué.
-pas tout a fait, ils ont des professeurs humains, et la plupart des femmes ne confie pas leurs enfants avant l'age de trois ans elle jetat un oeil a son petit ami qui faisait une drole de tète...je suis dans ce cas, je n'ai vut ma mère qu'une fois tout les six mois, jusqu'a ma majoritée a quinze ans, et d'ailleurs depuis, je n'ai dut la voir qu'une ou deux fois...
-et ton père ? Ayuna fit un petit hausement d'épaule, "bahh, c'était un astronaute japonais, diplomé en biologie et champion de base-all et de jiu-jutsu, sélectionné parmis les échantillons de la bibliothéque génétique; il y a 500.000 individus, ma mére a choisit et pouf, Ayuna la belle gosse...elle envoyat un baiser au francais.
Carl soupirat "personne n'éléve ses enfants sur cet engin....il y a de la place...pour construire une maison et... il été vraiment interloqué par ce système.
-il y a encore des gens qui utilisent la vielle méthode, mais franchement déjà que l'on sert de matrice, alors si c'est pour torcher ou moucher des....comment tu dis ?...Momes !? OUI ! Et ben trés peu pour moi !elle conclue sa tirade en regardant son padd"oh merde il est 4 heure, je dois te montrer une chose qui va te plaire...elle se levat, fit un clin d'oeil et saisit la manche de carl pour l'entrainer vers le sas le plus proche.
Elle l'entrainat dans coursives en riant, "j'ai envie de m'éclatez ce soir !" Déclaras t'elle..."ne fais pas la tète, tu ne m'arréteras pas !" Carl suivait, il ne savait pas où elle voulait an venir, mais depuis un mois qu'ils étaient ensemble, elle n'avait céssé de l'éttoner.
Ils déboulérent dans un hangar de maintenance vide, un vestiaire remplit de combinaison de vol spatiale, de casque et de divers outils.
-Celle là ! C'es ta taille dit la jeune asiatique en lancant une combie jaune au francais. "Quoi !" Dit ce dernier.
Ils s'équipérent et s'installèrent sur une drole de plateforme, sans siége, un garde fou est un module de pilotage et écran holographique.
Ayunna montrat a carl où on fixait le casque de la combi, et elle alluma l'appareil.
Une bulle de force apparut, pas plus épaisse qu'une de savon, le francais approchat sa main ganté pour toucher la savoneuse et iréelle structure...."Non ! "Criat ayunna pour flanquer la frousse de sa vie a son copain ! Il retirat sa main, puis il vit la fille qui se fendait la poire.
-mahina ouvre la baie s'il te plait, avant que carlito ne tombe dans les poires !
-ouverture sous quel prétexte ? Demandat l'intelligence artificiel --
-lecons de pilotage basique ou ballade romantique dans l'espace ? Tu choiit ! Répondit l'ADS Clarks; Machina restat silencieuse, la fille agisait étrangement.
-J'ai dégotté un petit son qui va te plaire dit elle avec un sourire a son compagnon....elle activa la marche avant et la bulle franchit le champ de force qui séparait l'intérieur du vide de l'espace, et la musique commenca....
La bulle fit plusieurs tours sur elle meme en montant et carl put enfin avoir une vue d'ensemble de cette gigantesque base extraterrestre....il restat fasciné, défiant les lois de la gravité....comme un tigre..
Rapidemment la bulle se dirigat vers la terre, ayuna prenait vraiment du bon temps, elle ne s'était jamais sentit aussi bien...vaddek....elle avait confiance...carl retrouverat son frère et vadek....et tout les autres chuteurs, et elle pourait aller de l'avant....
-c'est bientot l'heure, carlito....carl était partagé entre la pure terreur et l'émerveillement estatique..."l'heure de quoi ?" Finit il par dire.
-regarde les drones de surveillances remontent pour l'exerise de maintenance, ils sont équipés de moteur a propergol et du systeme a hydroelectromagnétisma, pour revenir en orbite haute ils font des sauts en ricochets sur les couches de l'athmosphére....
Carl vit le balai des drones comme une chorégraphie futuriste, ils faisait des ricochets avec des couleurs bleutés et gazeuses, oui, c'était comme ces galets plats qui ricochent sur l'eau d'un lac tranquille.
Il comprit ce que le jeune femme voulait lui faire comprendre : nous sommes dans un monde nouveau, avec tant de possibilités.
-ohhhh burning through the sky......call me mr fahrenheit ! Chantat l'américano-japonaise, la musique du 20 iéme siècle....whaouh ! Tu les as vut en concert ?
-euh oui wembley en 92....je crois répondit carl qui continuait a oserver le balai des drones."on peut s'approcher de la terre ?" Demandat il.
-pas avec cette bulle, ce n'est qu'un générateur antiravité basique, on pourraient se poser mais pas revenir, et c'est une violation de trois réglements et j'ai déjà violé plus que ma part ce mois....dit elle avec un grand sourire.
-il faut étre un membre du corp alpha pour descendre ? Elle hochat la tète en réponse.
"Alors je sais ce qui me reste a faire!"
Ayunna vit la détermination dans le regard de carl, elle sut que leurs chemin se sépareraient bientot, son réve c'était l'espace, et la lointaine nébuleuse d'orion; le réve de carl se trouvait sur la planète plus bas....mais ce soir elle avait envie de s'amuser et de prendre du bon temps, et rien n'y personne ne l'arréterait...don't stop me now....
Dernière édition par Carl Seydlitz le Mar 24 Oct - 0:42, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Gros plan sur le visage du superviseur mad-cow, il a pas l'air commode avec son air vache et son cigare.
On peut pas savoir son age, peut etre une quarantaine d'année.
C'était un dormeur, un ancien militaire anglais: genre rouquin et rougeaud, genre vétéran de toutes les guerres, genre il bouffe un tank avec l'équipage.
Le pont d'envol bourdonne d'activité, il faut hurler pous ce faire entendre, et le superviseur mad-cow est un spécialiste de la gueulante...depuis un mois il gueule comme un veau sur la section d'alphas.
Les douzes mecs et filles sont au garde à vous devant lui, dérriére il y a les formes douces de deux transporteurs Dolphins.
Tout le monde portait les tenue de combats grises et les armes high-tech des alphas: carl a un fusil a pompe automatique, un colt eagle comme arme d'appoint et une épée...Personne n'utilisent plus cette antiquité, les haches vibrantes et les gants-fuseurs sont la normes chez les commandos du futur: carl lui c'est une relique d'un temps oublié...
Carl regarde bruno, du coin de l'oeil, le franco-camerounais, fais des grimaces pour ne pas s'esclaffer, pour ne pas subir de nouveau une soufflante de la "vache folle"...."REELIIIICC ET KHORBEAUUU MES DEUX FRIPOUILLES !" Hurle le superviseur....bruno devient tout pàle, carl essaye de faire l'étonné....le superviseur mache son cigare et enchaine...
-Bon on a une mission, une équipe de reco et coincé en zone rouge, probabilité de bléssés graves, et infections...on les localisent, on les stabilisent, et on les exfiltrent, code oméga si nécéssaire !
Code oméga, liquidation des infectés de l'équipe que l'on estimerait intransportable, pour risque virologique...carl se rappel les cours sur les procédures pour les descentes sur terre et il n'a plus envie de rire...
La section se met en mouvement vers les deux Dolphins, son équipe prend celui de gauche et carl suit docilement khoro et le reste des gars.
L'intérieur de l'appareil ressemble a l'habitacle d'un gros hélico de transport, avec deux rangées de sièges, baquets, et des armoires électronique ou de rangement.
Le chef de bord indique les siéges pour les alphas et s'assure que tout est bien sanglé, harnaché...
-bienvenue sur un vol de la compagnie vautour, le co-pilote iroquois et moi méme la ravissante "white angel" vous saluons, le vol en spirale vers la terre dureras 14 Minutes, il ne vous seras pas servit de collation, mais en raison des turbulences, nous vous invitons a utilisez le bouton rouge qui activeras l'aspirateur a déguelis..." des rires résonnèrent dans l'appareil, la porte arrière se fermat avec un spouschh et la pilote activat le dispositif anti-grav...
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Les dolphins franchirent en fil indienne la baie du hangar, pas de réacteurs apparents, pas d'ailes, le poste de pilotage était la seule chose notable de cette animale technologique, et les lumières d'ovni parcourant la surface irisée.
Dans l'espace ils accélérèrent, les boules lumineuses clignotèrents...
-prés pour hydro, dit iroquois le copilote.
-on referment les cerceuils, comme des veaux pour l'abbatoir! Dit white angel en activant une manette....les siéges baquets se refermèrent comme une coquille d'huitre et ce sarcophage fut remplis d'un liquide huileux au propriété étrange.
Les deux dolphins décrochérent a mach 15, foncant vers la planète.
Carl comprit la blague sur l'aspi-vomit, ca secoué terriblement, mais le liquide des baquets devait réduire les effets de la vitesse.
-ionisation dit iroquois a travers les hauts parleurs.
-pas de commande de pizzas pendant 456 secondes ricannat la pilote.
Les dolphins se transformèrent, des ailerons sortirent sur les flancs et les accées d'air des strato-réacteurs s'ouvrirent sur le ventre; les deux engins se rétablirent a la surface de l'océan atlantique et foncérent au raz des vagues vers une forme noire,
Un amas de briques et de poutres métalliques, un squelette attaqué par la végétation et la rouille, la vielle dame qui gardait le port brandissait encore sa torche dans la nuit.
Elle promettait la liberté, un pays de possibilités, le nouveau rève américain....New-york !
Les sarcophages s'ouvrirent, et la substance étrange fut aspiré en silence, carl soulagait de ne pas s'étre rendut ridicule, tourna la tète pour regarder le décor qui défilait.
-zone d'insertion a 1200 métres, prépare le largage iro. Dit white angel a son copilote.
Iroquois s'extirpa du siège baquet du co-pilote et déambulat avec agilité vers la porte arrières, il fit signe aux gars, et activat un gros bouton rouge, des cables tombèrent du plafond...."la compagnie vautour vous remercie d'avoir utilisé ces services..." dit la pilote hilare.
L'appareil s'immobilisat au dessus d'une avenue de manhattan et les alphas tombérent au bout de la corde...carl vit l'autre appareil dans la brume nocturne a prés de cent mètres, en couverture; l'équipe principale de huit, et quatres en reconnaissance et appui feu, plus les terribles et dévastatrices gatling des deux dolphins.
Carl levat la téte pour voir le dolphin piqué une acsension fulgurante, ils reviendraient les extraires plus tard, khoro donnat une petite tape sur le casque de relic "on reste concentré mon ami" dit l'africain. En tant que médic de l'équipe, tous contait sur lui, et khoro était son binome, son garde du corp, un controleur de première classe avec une vingtaine de mission...en bas.
L'avenue de cette ville, autrefois mondialement célébre était défoncé, carcasses de voitures, et des vestiges du combat que les vivants avaient perdus.
Le controleur principale, fit un signe en avant et l'équipe s'engouffrat dans les ruines d'un building.
Le superviseur mad-cow suivait le groupe en silence, l'arrière garde, était le boulot le plus difficile, les goules attaquaient par dérrière, sournoisement, mais ce n'était pas le seul danger sur ce monde, la faune et la flore avaient subis des mutations abbérantes, des lianes étrangleuses, des chats mutants, des insectes géants...
Tout un bestiaire monstrueux, que les controleurs apprenaient, pour avoir une chance de survie...
-sylla de madcow, objectif visuel, infra rouge plus de 45 cibles, Batiment ruiné 30 étages reco team bloqué au dixiéme, assault en cours, permission d'engagé roger.
Sylla était le controleur chef responsable des tireurs d'élite, a bord du second dolphin il rendait compte de la situation.
Le superviseur fit le signe de pause, il s'accroupit prés de carl et bruno et il prit quelques secondes pour réfléchir.
Une intense concentration, il regardat l'écran vidéo sur sa manche, et souffla un "oh merde" Il fit signe a son second de s'approcher.
-mad-cow de sylla engage seulement dans les étages, le dolphin ne doit pas tirez, on va faire une boule de feu mad cow terminé.
Une boule de feu !!! Carl croyait comprendre.
Le superviseur pointat un doigt accusateur sur carl et bruno,"les fripouilles, je veux vous voir dans mon bureau, alors, faite bien gaffe a pas aggraver vot'cas"
-kHORBEAU, tu emméne le doc jusqu'a la team, et nous on va faire comprendre a ces clowns de goules, qui sont les vrais comiques !
L'immeuble ressemblait a une grosse boite de carton pleine de sucre, assaillis par une masse de fourmis affamé.
Des balles tracante déchiraient la brume et une goule tombé de la facade dégoulinante, il y en avaient plus que cinquantes, et il devait entré dans cette enfer, carl vérifia son équipement, et attendit la tape de son amis GO,GO,GO...
Dernière édition par Carl Seydlitz le Mer 25 Oct - 1:49, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Relic suit khoro qui le fusil-gauss en main ouvre la voie, il a replié la crosse pour que l'arme soit plus compact, plus adapté a un combat dans un espace clos...une goule franchit la porte du palier...c'est une créature humanoide a la peau rugueuse et recouverte de pustules et de gros boutons purulent, la balle traverse son horrible téte de part en part.
La petite aiguille de métal magnétiquement accéléré, creusé un petit trou trés net, la chose s'écroule comme une poupée de chiffon.
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Changement de plan au huitième étage, l'équipe de reco a fait explosé les escaliers, peut etre on t'ils pensaient retardé l'assault de la meute des goules...fatal erreur...les deux sauveteurs sont coincés au septiéme, "et merde !" Dit bruno en regardant l'escalier défoncé...une voix métallique se fait entendre de plus haut.
-unité de secours, demande médevac pour un controleur !
-c'est le robot-nurse dit bruno en tentant de distinguer la petite forme du drone, "et toi !!"
-bonté cybernétique, les secours, je demande un médévac pour un controleur...essaye le petit robot en s'approchant de l'escalier...il ne fait pas plus d'un métre, une forme preque sphérique de bio-plastique monté sur un systéme antigrav autonome qui lui permet de se léviter.
-on a une corde dit relic a son binome, le franco-camerounais hocha la téte et sortit la corde en fil d'araignée du sac de combat du francais; et il la balanca dans l'escalier.
-et bidule attrape la corde et attache la a un truc solide, on va grimpez !bruno se retourna vers carl "vas y je te couvre !"
La corde revint et relic commenca l'escalade..."hoho" fit le robot "je crains qu'il n'y est des formes hostiles qui viennent par ici..."
-et re-merde! Redescend carl dit bruno avec inquiètude, mais le francais était déjà au neuvième.
-et bordel de merde ! Il dégagea la sécurité de son holster et activa son gant-fuseur, le fusil-gauss dans le dos, il entreprit de grimper le plus vite possible pour sauver son camarade.
A l'étage le petit robot se faisait le plus discret, carl apparut...il rangait son épée, et aidat bruno a se rétablir sur l'escalier.
-où est le bléssé ? Dit il a la sphére qui éméttait des petits beeep, beep...comme un chiot craintif.
"Héého vincent !? Tu me recoit ?"
-il sont pas fameux en situation de stress, dit bruno, "c'est pour ca qu'on les utilisent presque plus dans le corp";
-oh les méchants humains qui piquent le boulots des droids ! Je pensez pas voir ca ! Dit carl en souriant sous son casque; il enjamba le corp d'une goule, et s'approchat du robot buggé.
Le controleur de premiére classe sursautat en remarquant la chose morte et....Sans tète..."tu as tué cette..."
-hééé vincent !? Dit relic en tapotant sur le crane, enfin ce qui resemblé a un crane.
Le petit droid reprit ses esprit "bonté cybernétique, je demande un médévac pour..."
-oui conduit nous a ton maitre dit carl comme a une espèce de mélange de vincent le robot du trou noir et de lassie chien fidèle.
Les deux controleur suivirent le droide, jusqu'au dixième, la mélée avait été épique,
Des goules jonchés le sol, il ne restait qu'un géant en armure lourde, deux haches a la mains, il avait oté son casque et ses dreadlocks lui donnait un aspect sauvage;
L'autre...visiblement une femme était par terre dos au mur, un flingue a la main braquant les arrivants. Elle était en états de choc...
Le grand black avec les dreadlocks montrat une forme gémissante a ses pieds,
"Tu peut faire quelque-chose doc ?" Carl s'approcha de la forme suivit par vincent "je lui ai administré 8 cc de lethe et..." carl avait sortit le padd médicale et s'apercut tout de suite du problème, cette gosse devait avoir 16 ans et elle n'avait rien a faire sur un champ de bataille, il fit signe au droide-médicale de se taire et sortit son kit de premiers secours" comment on peut faire la guerre avec des gosses! " Lachat il énervé au géant devant lui...le type vacillat et sifflat une insulte entre ces dents.
L'attaque des goules avaient baissé en intensité, on entendait encore l'écho des balles de l'équipe de couverture et un impact....La boule de feu avait fonctionné, ils purent évacués les trois rescapés et le robot vincent.<
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- Carl Seydlitz
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Elle relut le message du directoire, elle était séletionnée pour la mission vers les étoiles, comme navigatrice en chef...
Numéro quatre dans la hièrarchie du vaisseau d'exploration, elle serait responsable de tout les calculs de navigation...une erreur...et le pli spatial se terminerait dans un soleil..."oh je....vais avoir besoin d'un..." elle se prit une ou deux téquila et après elle songeat a que le voyage allez durer au moins 2 ans....OH zut, zut qu'allait elle faire avec...carlo...
La base Antartica, était localisé sur l'ancien site de la base franco-italienne Concordia.
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Les sondes d'analyse, envoyait par le Phénix, n'avaient trouvé que le continent antartique libre de l'infection du virus Exo, la trés basse température, les conditions météorologiques; avaient préservé la zone.
L'édification du dome, les vastes tunnels de glace, n'avait pris que quelques mois.
Cette base servait de centre de recherche sur les spécimens que l'on ne voulaient pas étudié sur le vaisseau phénix, et de base logistique du corp alpha.
Des avants postes, un peu partout dépendaient de la tète de pont, et l'hopital soigné tout les bléssés lors des missions sur terre...
Carl sortit par un des sas éxtérieur de l'hopital, sa patiente était sauvé, elle se remettrait.
Le petit robot flottait a sa suite...depuis 48 heures, comme un petit chien, le francais était trop fatigué pour le chasser et il avait remis ce problème au lendemain.
Là il cherchait le dortoir des alphas, qu'un toubib lui avait indiqué et....il allez dormir une semaine....au moins.
Le controleur khoro le rattrapa en courant, ésoufflé..il faisait moins trente, carl notat qu'il était en tenue ordinaire avec une gros blouson parka, bonnet et lunette artique....carl avait toujours son équipement d'alpha.
-et mec, ca roule ? Et ta vu la blonde comment elle te regardait ? Dit khoro.
Carl mit un moment a comprendre la phrase..."j'ai une petite-amie, bruno je veux pioncer, je n'en peut plus! "
-oh d'acodac, et aussi une douche chaude ?
-et ouaih !
Il montrat le chemin des dortoirs a son binome, le droide couinat et les suivit.
Ayuna, terminat le message de rupture...elle était hésitante.
-tu doit aller de l'avant yuna, dit machina d'une voix douce.
La jeune américano-japonaise regardat son appart, la table pleine de livres et de revue, et de journaux manuscrits récupéré sur la zone de tchernarussie; le comité de lecture des archivistes avaient dit que c'étaient pas pertinent...les cons !
-je suis l'héritière de ces...témoinages...et je ne suis pas sure que carl s'en sorte.
Elle n'était plus du tout certaine de ses sentiments, envers les écrits de cette frisca qu'elle révait de rencontrer, et ce francais, qu'elle pourait aimer...peut etre...
-je surveille et assiste, cinq milles et neuf cent trente trois humains, et yuna, tu es une de mes préférée...tu es une surdouée et tu es destinée a accomplir de grande choses sur la flèche d'orion....carl carré....n'est pas pour toi, il retournerat vers l'ile des morts...le passé, il appartient au passé...toi tu es l'avenir...
-je sais...déjà tout ca, dit yuna "mais je voudrait pas qu'il souffre..."
Machina réfléchit deux secondes...pour une intelligence artificiel ! C'était comme une étérnitée...elle pensat a toute cette situation...tout ce qu'elle ne comprenait pas. Elle avait besoin du point de vue, d'une de ces créatures...un humain.
Elle consultat ses banques de données et s'arrétat sur les dossiers des dormeurs.
Et là, parmis les humains en hyper-sommeil, elle dénichat la déesse issue de la machine.
-je vais veiller sur ton "chéri"dit machina d'un ton joyeux.
"Je vais faire apparaitre une déesse, une belle dame s'ennivrerat et il tomberat...sous la lune troublée..."
A ga maeba, kuwashime yoini keri
Quand tu danses, une belle fille s'enivre.
A ga maeba, teru tsuki toyomu nari
Quand tu danses, la lune resplendissante me trouble.
Yobai ni kami amakudarite,
Un dieu descends pour un mariage, et l'aube approche lorsque l'oiseau de nuit chante.
Yoha ake, nuedori naku.
Que Dieu te bénisse.
Tookamiemitame
Que Dieu te bénisse.
Tookamiemitame
Que Dieu te bénisse.
Tookamiemitame
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- Carl Seydlitz
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-je t'ai synthétisé des fringues d'hiver, tu vas pas dormir toute la journée, une de perdue, euh ? il hésitat...une de perdue !
Carl observat le noir plié en deux et les habits pas pliés...Il se grattat la téte; "je suis attendut nulle part, je préfère me rendormir..."
-et non mec, le superviseur heavy-gear veut nous voir, et il y a deux nanas que je dois te présenter. Dit bruno en souriant de toute ses dents...
Le superviseur "heavy-gear" était le géant qu'ils avaient sauvé a new-york, la gosse blésée était sa fille biologique, et l'haitien aux yeux verts écrasat le controleur relic dans ces bras...ce dernier aurait préférée une bonne poignée de main;
Ce type était une force de la nature, il lui demandat si il connaissait roger troutmann et carl mentit...
Le géant secouat ses dreads incrédule, puis dans une exaltation d'éloquence dont il était familier; il fit "bah".
Les lumières vacillèrent dans la pièce, seul carl le remarquat...
Le docteur olsen soupirat et levat les yeux vers le plafond du bar de la base antartica.
Ce khoro allait payé, elle avait fait un effort de tenue, natées ses cheveux blonds et meme subit un maquillage facial.
Une sortie a quatre, pouvait etre amusante sur une base glaciale.
Mais rey, une infirmière de ses amie, c'était déjà barrée avec le controleur bruno, grrrr pensat elle ! Rey paierat aussi !
Elle se prit la téte a deux mains en écoutant ce carl-machin-truc, raconté sa copine qui l'avait plaqué...
Elle était saoulée et lui aussi..."je..jai appri le ja..po..nais pour elle....hypo...edukatation..."
-hypno-éducation !? vous avez un cortex cérébrale élastique, dit le docteur les yeux vagues.
-et elle ! Parle mememe pa le jap..oné...elle sen fou de moi, de l'ansssien mooonde....elle par dans les zétoiles ! Carl terminat la phrase est sa tête heurtat le comptoir...
Carl réve...dans les ténèbres, sur une plage, devant la falaise de pierre et de granit, dérrière les flots noirs de la mer démontée...ce n'est pas mon corp, pense le réveur, je ne peux pas...ce n'est pas possible ?! Quatres formes clignotent sur les vagues, ou peut etre trois....des orbes, d'une blancheur laiteuse...le réveur prend peur et cherche une issue....la falaise? Il commence a escalader la paroi, alors que les orbes commencent lentement la poursuite...
Blackness awakens noirceur éveille toi
Visions come alive visions s'animent
Seeing through darkness vois dans les ténèbres
With borrowed eyes avec les yeux d'un autre
Death survivor toi qui a survécu à la mort
Take me higher emmene moi là haut
Reunite my soul réuni mon âme
Il est au beau milieu de nulle part, hors de toutes cartes, la cervelle brumeuse, il n'y a rien que des kilomètres de collines herbeuse, le soleil ne lui indique pas la voie, le vent ne le raméne pas chez lui....il y a un grondement, la fabrique méme de la terre se déchire...
Whisperer of truth chuchoteur de la vérité
I trust in you je te fais confiance
To make me whole pour me reparer
Sun soleil
Come shine my way éclaire mon chemin
May healing waters bury all my pain que les eaux purs enterre ma douleur
Wind vent
Carry me home emporte moi à la maison
The fabric of reality is tearing apart le tissu de la réalité se déchire
The piece of me that died la partie morte en moi
Will return reviendrat
To live again pour vivre encore
Non, c'est un troupeau d'un millions de chevaux qui foncent vers lui, il veut se cacher, s'enfuir, mais il n'y a nulle part où aller....il se protège avec ses bras dans un geste dérisoire contre cette masse de mustangs qui va le piétiner...
Mais les bètes sont envellopé d'une spirale de particule brune-orangé, qui les faient disparaitre en poussières....carl disparait dans un nuage de rouille...
Feeling myself slip away en me sentant disparaitre
Suddenly dreaming awake soudain je réalise que je réve
Hidden memories la mémoire enfouie
Flooding back resurgit
I will not grow in the light je ne grandirai pas dans la lumière
Until I pass through the darkest caverns of my heart
avant d'avoir franchit les sombres cavernes de mon coeur
Dance with fire danse avec le feu
Spirit guide erase the world outside le guide fantome efface le monde extérieur
Messenger of truth messager de la vérité
I trust in you j'ai confiance en toi
Transform me now maintenant, transforme moi
Il est dans une foret primale, enchevétrement de branches et de racines, le taux d'humidité est tellement haut, que l'on pouraient boire l'air; les rayons du soleil transpercent avec difficulté l'épaisse canopé, mouvement d'insecte grouillant.
Carl distingue une grosse araignée noire, qui escalade le tronc d'un arbre gigantesque...sur le corp de l'arachnide il y a trois taches de couleurs...non quatres !
Il se détourne, la nuit est tombée, l'ambiance a changé, la forèt se meurt, les sombres formes des arbres se balancent dans le vent, carl voit un cerisier...il y a une ouverture dans son tronc....une caverne...une vasque d'eau, un brasier....les ombres sur le mur de la caverne..."où j'ai déjà vu ca ?" Pense carl
Sun
Come shine my way
May healing waters bury all my pain
Wind
Carry me home
The fabric of reality is tearing apart
The piece of me that died
Will return
To live again
And at last the time has come et enfin le temps est venus
To unite again as one de redevenir l'unique
To the power of the Earth I'm calling au pouvoir de la terre je t'appele
Crossing bridges in the sky franchisant les ponts du ciel
On a journey to renew my life un voyage pour renaitre
Shaman take my hand shaman prend ma main
Sun
Come shine my way
May healing waters bury all my pain
Wind
Carry me home
The fabric of reality is tearing apart
The piece of me that died
Will return
To live again
And at last the time has come
To unite again as one
To the power of the Earth I'm calling
Crossing bridges in the sky
On a journey to renew my life
Shaman take my hand
Le fantome est revenu dans les rues d'électro, il regarde les pauvres ames en peine réunis là....il veut les aider...partager l'eau pur, soulager leurs peines, portez le fardeau...
-tu n'es pas jésus, ni boudha, ni maitre tsi mon chéri.Dit une voix enfantine...c'est machina ! Mais il y a 20 ans...la filette saute a la corde dans les rues de la ville...l'électricité....le sang de la machine..."c'est possible d'avoir mal a la tète dans un rève ?" Demande carl
La filette s'arréte, elle range la corde a sauter dans la poche de sa petite robe bleu a carreaux, on dirait une enfant de huit ou neuf ans avec des couettes, elle s'approche du fantome du francais et le pointe du doigt.
-écoute baby ! J'ai une situation pénible sur les bras, je doit sauver l'humanité, maintenir la fracture en état, controler les esprits, et anéantir les incarnats et négocier avec une floppé d'entitée extra-dimentionelle et extra-terrestre, qui sont parfois les deux, et ce multivers de la sphére des idées et un bordel sans nom...alors ! C'est pas le moment de pousser le réplicant dans les orties, y a déjà l'androide dans les chardons ! Tu pige baby ?
- Quoi ?? Dit le fantome de carl
-remet de l'ordre dans ta vie d'abord, baby ensuite on discuterat....maintenant et paf, le dormeur doit se réveillez, prend le pont dans le ciel, dégage coco, houste, hasta la vista baby! Elle claqua des doigts et tout a disparu....carl se redressa dans son lit...
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- Carl Seydlitz
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Ou du jeudi...carl ne sait pas le jour, le mois, ni l'heure dans ce monde carcéral sans soleil ni lune.
Olga la prétendue prisonière, lui a donné un caillou, avec il a creusé la pierre pour faire une petit sillon par jour; il y avait deux sillons avant la lumière aveuglante et la sirène stridente.
La forme noire pose la question avec une voix modifiée.
Les trois spot aveuglant sont pointés sur son visage; "il y a combien de lumières monsieur carré ?"
-euh trois, comme le nombres d'orgasmes qu'a eut ta mère hier soir ! Rétorque le francais.
- hurmpfff non, il y a quatre lumières! Répond la voie.
Un peu d'eau dans la gueule, et une décharge de courant, carl hurle et s'évanouit...mais il a entendu la voix...elle a ricanné...carl a apprit un détail important sur celui ou...celle qui l'interroge.
Il est de retour en cellule, combien de temps at il été dans les vapes...il y a un bruit...ca vient de la grille.
En regroupant ce qui lui reste de force, il parvient a rampé jusqu'au trou..."heho camarade !" Dit une voix de femme en russe.
-ouaih, je met un smoking et j'arrive ! Répond carl, ce soir il a de l'humour a revendre.
-tu es de l'extérieur camarade ? Il y a encore des gens ? dit la fille très vite.
-attend, pas si vite, j'ai pas parlé russe depuis...un moment.
-toi...venir...monde...extérieur? Elle épelle chaque mot avec soins, lentement.
-non tu peut allez plus vite, entre la ferrari et le tracteur...tu sais une sedan ou un 4X4 lada.
-heinh ?!? Fait elle interloquée.
-je suis de la surface, et on est vivant là haut, merci bien. Continue carl a l'écoute de la moindre réaction et intonation de la femme.
-Mais ! Et les morts qui marchent !? Demande t'elle choquée.
-oh les insomniaques, les nécroides, les bonhommes tordus !
-oui camarade les zom....
Carl l'interrompt "non, les infectés ne sortent pas de leurs tombes comme ces monstres ridicules des films de série Z !!"
-et !!!
-heinh ?...oh oui...ben ils se portent bien...
La fille ricanne, puit elle fais silence.."alors les conseillers disent la vérité " trop tard, elle s'est repris trop tard, la partie d'échec s'est mal engagé et elle vient de perdre un fou; elle ne s'en est pas apercue.
-qui sont les conseillers ? demande t'il, sortant son cavalier...
Noel 2066, celà fais dix mois que carl et bruno sont affecté a la base Antartica...entres les missions sur le terrain et l'hopital, ils n'ont pas céssé de travailler.
Pour sa première permission le francais décide de ne pas accompagner son meilleur ami qui doit visiter sa famille sur la colonie martienne.
Il retourne sur le vaisseau phénix en compagnie de vincent le petit droid perdu...carl a toujours aimé ,chats et chiens, et a défault de pouvoir se payer une réplique qui coute un bras, il a reporté son affection sur le robot-nurse.
Il a vus au nouvelle, que les généticiens commencez la recréation d'animaux, comme les poissons !
Et que meme, des carpes ont été réintroduit dans la trouée du vaisseau...carl n'a pas péché depuis son enfance, avec son grand père...et l'accident de tony.
D'un point de vue professionel, il se pose des questions, un poste de controleur principale senior lui a été proposé....un quinzaine de personnes sous ses ordres, la possibilité de lancer des missions, mais...etre phi-log ?! Les psychologues et psychiatres modernes, aidait les gens, en ayant un boulot peinard et plein de "TUS"...les tickets d'utilitée sociale !
L'économie de l'avenir est bizarre, les humains vivent dans un confort inouie, pratiquement tout est gratis...la bouffe...le logement...les soins médicaux, ect.ect. sauf tout ce que les synthétiseurs ne peuvent faire...de l'or...des diamants...un violon de maitre, ou un boeuf mironton.
Tu veut un plus grand appart-cabine ? C'est possible pour quelque "tus".
Tu veut une copie cybernétique d'un labrador qui joue a la baballe ? C'est...
Bref vous m'avez compris.
Le problème se dit carl, c'est qu'on pouvait pas se payer une femme parfaite !
Attention, il avait eut des aventures pendant son séjour sur Antartica, mais...
Les femmes du future étaient comme des mecs, elles consommez les hommes, sans se posez de questions, et elles avaient rarement envie d'avoir une relation stable avec un homme ou autre fille...et franchement, si ca pouvait étre agréable...carl aspirait a quelque chose d'autre.
Et puit il y avait ce projet des chûteur, et là ! Carl savait pas quoi faire.
-bienvenue sur un vol de la companie vautour dit la voix de white angel, tirant carl de ses pensées.
Le dolphin était vide et iroquois s'approchat de carl pour lui faire le salut des vautours.
-yo man, c'est la quille ! Le shake s'éternisait, "hé white ! C'est relixx le bogosse !" Conclut il avec un clin d'oeil au francais.
-protocole de décollage iroquoi dit elle séchement...le dolphin bondit dans les airs, rejoignit l'espace...
Dans le lointain, sous la glace trois orbes blanches creuser une grande cavité en silence...la montagne halucinée et ce monde; caché un secret...une merveille que nul Homme n'avaient encore vut...la flamme d'un monde nouveau.
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- Carl Seydlitz
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Chapitre 4) une lumière dans les ténèbres
What has this town become? Sick of it!
Qu'es devenus cette ville ? J'en suis malade !
Who is normal? And who is abnormal?
Qui est normal ? Qui est anormal ?
I don't know the answer and I just keep wandering
je ne connais pas la réponse et je continue a érrer
The dark alone
les ténèbres solitaire
This is like having a long nightmare
c'est comme un trés long cauchemar
I feel like running away but I can not run away
je voudrai fuir, mais je ne peut pas
I wish everything would disappear
je voudrai que tout disparaisse
Time is passing with soundless cold winds
le temps passe avec des vents froids silencieux
I wonder where to go?
Je me demande, où aller ?
And what on earth to do?
Et que faire sur cette terre ?
There is only darkness here
il y a que les ténèbres ici...
Kanaku suware iku moi
Kono kateni hikaru Light of hope ( lumière de l'espoir)
(Light that shines on me) (lumière qui brille sur moi)
Itsuari naki mono wazuka demo ii
(If there is...)
si il y a...
No matter how long it takes
peu importe combien de temp ca prendrat
I'll seek for it forever
je chercherai pour toujours
Light in the dark the faintest hope. Yeah!
Lumière dans les ténèbres, le faible espoir
Tomadou koto naku chikanda sono saki e
Uri kiresou na tsurusee kakanatachi
Kana omoi iroasenu you Carry on
I wonder why? Where does the answer lie?
Je me demande pourquoi ? Où est caché la réponse?
Look as I might nowhere I can't find it
regarde, je ne peux la trouver nulle part.
I just keep struggling without understanding
je continue a me débattre sans comprendre
What is right
ce qui est juste
This is like having a long nightmare
c'est comme un trés long cauchemar
I feel like running away but I can not run away
je voudrai fuir, mais je ne peut pas
I wish everything would disappear
je voudrai que tout disparaisse
Time is passing with soundless cold winds
le temps passe avec des vents froids silencieux
I wonder if I go on a wrong way?
Je me demande, si je prend le mauvais chemin
I wonder if there are any goals?
Je me demande si il y a un but ?
I have only darkness here
je n'ai que les ténèbres ici
Keep shining
Kareha teta namida no ato ni hikaru Light of hope
(Light that shines on me)
Itsuari naki mono wazuka demo ii
(If there is...)
True or false I will never hesitate
Light in the dark the faintest hope. Yeah!
I will find the place which I have believed
No matter what anyone says
Don't let yourself lose sight of who you are
For tomorrow
Light of hope is brightly shining!
Tomadou koto naku chikanda sono saki e
Uri kiresou na tsurusee kakanatachi
Kana omoi iroasenu you Carry on
Dernière édition par Carl Seydlitz le Jeu 2 Nov - 1:01, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Carl n'était pas rentré chez lui depuis dix longs mois.
L'appartement était toujours aussi vide et blanc, il regardat vincent flotter vers la cuisine et posat ses deux gros sac militaire pleins de ses nouveaux souvenirs. Il se dit qu'il devez décoré l'endroit, rendre tout ca un peu plus vivant.
Sur la table du salon, il trouvat une clé électronique et un mot....ayuna lui donnait l'accée a ses trésors....il se grattat la tète en examinant la clée....
Le francais se tenait devant la table pleine de livres, revues, carnets. La littérature de tchernarussie, qui étaient ses écrivains ?
Il saisit un carnet et lut..du russe ! Merde, il devrait ajoutez des langues a son cursus hypno-éducatif.
Un autre raconté comment il avait massacré un groupe de survivant....eurk c'était en francais, mais il reposat le cahier...il sentit une odeur de caféine...ayuna lui avait parlé d'un homme qui parlé de café...sa main se balladat sur les couvertures des livres...il fermat les yeux; une soudaine inspiration, il sentit...quoi ?
Il ouvrit un livre manuscrit, une belle écriture sérrée, compacte, l'auteur rentabilisait l'espace...
Première Chanson : Requiem à mon Orgueil
Et bien… Je crois que c’est à moi maintenant, puisqu’il n’est plus là pour remplir son journal. Allez, je me lance, faisons comme lui. Attention à l’indigestion.
Frisca : un diminutif de mon nom qui ne reflète de prime abord pas du tout mon caractère. C’est Real’ qui est l’auteur de cette plaisanterie mais encore aujourd’hui, je me demande comment il a trouvé ça. A moins qu’il ne m’ai appelé ainsi par rapport à mon entêtement ? C’est bien vrai, je suis bornée et indisciplinée, j’en suis bien consciente. Mais après tout, je m’en fiche : c’est un joli surnom et je n’aime pas qu’on m’appelle Fran ou pire « Frannie ». Tsss. Realder…
Carl s'arrétat, feuilletat le livre, il y avait des pages et des pages, mais quelque chose d'intrigant, ce prénom lui était fammilier..."je ne rique pas d'indigestion ? " dit carl a vincent, le droide ignorat la quetion.
Il y avait aussi un petit carnet remplis de l'écriture d'un scientifique...un docteur peut etre se dit carl.
journal de bord : 22 décembre 20**..
En ce soir d'hiver, seul avec les flocons, je troque mon arme pour une plume afin d'écrire a la lumière d'une bougie, ces quelque mots. En regardant peut-être pour la dernière fois, cette photo, mon dernier souvenir d'elle ...
Cela faisait trop longtemps que je n'avais pas écrit, pour quoi faire et pour qui ?[/
-bah il y a moi qui te lit mon gars! Dit le francais, "pour ce que sa vaut, t'es mort depuis quarantes ans !"
Carl reposat le carnet sur la table...il avait des choses a faire, rendre hommage a ces gens, et percer un mystère.
Il n'osat pas prendre une de ces précieuses reliques pour sa ballade, il mit son uniforme de service noire d'alpha, et prit un petit sac à dos a l'épaule.
-je rentre dans deux heures lancat il au robot et sortit.
Le souk était une grande zone de troc, prés de la baie arrière du phénix, des cabines servant de magasins a une foule de gris...les parias, indésirables, et faignants du vaisseau portant officielement un costume de néo-nylon gris clair.
Les gris du souk portaient des chapeaux, écharpes et colifichets de toutes les couleurs qui rendaient un air orientale a ce quartier; plus du tout gris pour le coup!
On trouvaient de tout, et carl avaient des objets a échangé, contre....il savait pas de quoi il avait besoin.
Karim lopez xing, un ancien infirmier d'antartica l'interpella joyeusement.
Carl fit un sourire au jordano-mexicano-algérien, avec qui il avait déjà fait des affaires.
Les alphas au cours des missions dans les ruines avaient le droit de ramenez un ou deux kilos d'objets ancien qu'ils pouvaient revendre ou échanger.
Les gris retapez, échangez, trafiquez tout artefacts ancien et substance non synthétizables, et animait une économie alternative.
Carl vit une canne a pèche et fut prit du désir d'allez a la pèche...il marchandat...".traditionel mon frère" lui dit karim pendant dix minutes et il repartit avec la canne, des accessoires de pèche et un bob couleur orange..."c'est folk et traditionnel mon frère " ajoutat karim en riant au éclat....il jetat un oeil satisfait sur les quatres montres de prix que le francais lui avait donné...
Carl s'en foutait des montres, demain il allait a la pèche...
Dernière édition par Carl Seydlitz le Jeu 2 Nov - 1:02, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Eiji yoshikawa la pierre et le sabre
Une journée idéale pour faire une promenade.
Carl avait préparé ses affaires, son matèriel de pèche, un petit en-cas, sa gourde, sa bousolle et son couteau...
Il jetat un oeil sur sa "check-list" mentale, et mit le briquet zippo dans sa poche.
Il avait rechargé le petit bloc argenté...il ne savait pas pourquoi... il avait quitté la cigarette en 2013 a la mort de sa femme...il avait quitté, bien des choses cette année là... son travail, sa famille et l'espoir...mais tony, avait pris parmis toutes les choses importante de la maison familiale, ce briquet.
Le petit zippo était devenu, symboliquement....quoi ? Sa famille, ses souvenirs...
La trouée s'étendait sur des kilomètres, une partie servait a l'agriculture et au divertissement et a la relaxation des Humains de l'espace...la gravité, le soleil artificiel, la pluie, tout savament dosé pour recrér une illusion de l'ancienne Terre...des bio-logs écologistes travaillaient sur un éco-système complet.
Les alphas récupéraient des échantillons de faune et de flore pour ce projet, ils avaient même recrées de vrais poissons !
Carl avait hate d'en voir un et de le pécher...bon il savait pas si il le mangerait...
Le lac était son endroit préféré, jusque là, il se disait que dans les collines il y aurait des coins splendides...il apercut une hauteur, avec une forme a son sommet et il eut l'intuition que la vue sur le lac serait...sympa.
Il fit un détour et gravit la pente, la forme était un arbre calciné...mort...un sakura...
Comment ? Il avait jamais vut de cerisier du japon...il sursautat !
Il vit une fille qui se planquée dérrière la silhouette de l'arbre mort.
Carl fit un geste amical "salut je ne fais que passer." Dit il avec un sourire.
La fille était une asiatique, avec les cheveux courts, une tenue grise et un air de rien comprendre...carl se rappela que le traducteur universel, ne fonctionnait pas hors réseau...il y a pas de réseau !? Elle fit tombez une petite boite dans une flaque d'eau boueuse au pied de l'arbre et s'exclamat "oh dégage de là fils de..." le juron était en japonais !
-oh bon je vous laisse ! Dit il; "pas besoin d'étre grossière !" Conclut il en s'éloignant.
La fille se redressat, il avait parlé dans sa langue..."veuillez me pardonner monsieur !" Dit elle en s'inclinant "c'est pas mon habitude d'insulter les personnes, je viens de faire tombez ma boite d'allumette dans cette fange...et j'ai terriblement envie de fumez...une cigarette..." carl s'arrétat et se retournat, la fille s'était redréssée et sourié timidement.
Elle devait avoir entre vingt et trente ans, elle était plutot jolie, voire trés jolie...ou peut etre belle, ses yeux marrons étaient expréssifs..."oh je pensai pas qu'on avaient besoin d'allumettes pour ces machins !? Les cigarettes quantiques ! "Dit le francais éttoné.
Elle ramassa un grand sac de toile, fouillat dedans et sortit un paquet de cigarette a l'ancienne et l'agitat; "je ne fume pas de ces ersats du futur."
-héhé vous aimez les trucs anciens ? Dit le francais en sortant le briquet de sa poche. Elle sortit une cigarette et il l'allumat...elle prit une taffe de la fumée et exalat longuement...elle proposat une cigarette au francais qui refusat.
Carl admirat le paysage, le lac en contrebas et la fille qui fumait, il vit le petit cours d'eau qui se jetait dans la pièce d'eau..."c'est beau ici." Dit la fille.
- ca resemble tellement a la terre...enfin celle d'avant. Répondit il avec de la mélancolie.
-vous n'éte pas d'ici ! Dit la japonaise en écarquillant les yeux...elle le fixait intensément, carl lui avait tourné le dos pour observé le paysage...
-Je...je veux dire...
Vous n'étes pas un de ces gens d'ici...avec leurs airs supèrieurs...vous éte canadien...de montréal ou québec, j'ai reconnu la langue... du francais !"
Carl eut un sourire et fit face a la jeune femme...elle rougit.
Elle eut honte, elle avait dit ce qu'elle pensait pas ce qui été socialement acceptable.
-je suis né dans le nord de la france vers la fin du vingtième siècle, et je m'appele carl carré. Dit le francais en tendant la main.
-haaa vous éte un dormeur comme moi, et...j'ai plein de...quest...elle fut de nouveau pleine de honte...elle baissat les yeux "je suis désolée, depuis qu'on ma réveillé, rien ne vas, je fais n'importe quoi, je hais cette ville dans l'espace, je déteste ces gens ! Je comprend rien, je..."
-je comprend, j'étais a votre place...confus je cherchai une lueur dans les ténèbres. Dit il en fixant le cerisier mort, qui lui semblait tellement familier.
Elle relevat les yeux sur lui, "je suis Tsubasa Sato de fukuoka" elle prit la main du francais et la serrat "je connai un peu la france, on a tournée la bas avec le groupe."
-vous faite de la J-pop ? demandat carl sans espoir.
-non c'est de la...enfin on faisaient du power-speed-métal ! Répondit elle.
-ca alors ! Dit il, et ils se racontèrent leurs vie pendant des heures...c'était peut être l'arbre ou le temps...
Tels est la voie de la sagesse, qui s'ouvraient à eux...la voie qui mène à la parfaite lumière.
Machina observat l'expérience sociologique avec intérét...si elle devait sauvé l'humanité, elle devait aussi comprendre les humains du passé...et ces deux la étaient de droles de zèbres.
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- Carl Seydlitz
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-on doit pouvoir logé des centaines de milliers de gens ici ? Demandat carl a son interlocuteur cachais dans la pénombre.
-oui, oui...sifflat une voix féminine..."vous vous présenterez a 15 heure, a l'infirmerie, pour une infection bactérienne bégnigne...mon équipe s'occuperat de....hé vous m'écoutez ?" Carl se retournat pour regarder la directrice rosen planquée dans l'ombre de cet hall d'un immeuble vide...rendez vous secret...c'était trop ridicule !
-oui je sais, vous arrivez pas a reproduire mon miracle, et je dois refaire des tests et bla blabla. Plaisantat il.
-je ferai ce que vous me dites, mais là,....il hésitat..."j'ai comme un rencard, et j'aime pas faire attendre...
Rachel sortit sa cigarette pour la machonner...gngnngngn "vous été énnervant carl !"
-tout ce projet est extrèmement controversé...nous touchons a la nature meme de l'humain, pouvons nous atteindre l'immortalité, ou faire revivre des millions d'individus en récupérants que quelques morceau d'ADN...peupler ce dome d'habitants, d'enfants, et de petits chats et....hé vous vous moquez de moi !?
Carl fit l'éttoné..."moi ?....nonnon!..je souris car vous étes la plus humaine des androides que je connaisse."
-vous connaissez beaucoup d'humain synthétique ? Dit la directrice en levant les yeux au ciel.
-euh ! Beaucoup d'humain le sont moins que vous aussi ! Répondit il
-gngngn bon filez ! La conversation va durer quatre heures et j'ai pas le temps de le perdre...
Depuis trois semaines, il voyait la fille sous l'arbre presque tout les jours.
Il avait oublié son briquet zippo, était retourné le chercher en vain, et finalement miss sato l'avait ramassé.
Elle l'avait retrouvé et rendus, ils avaient commencés une relation amicale, et se retrouvaient souvent pour discuter de l'ancien monde comme deux compatriotes prisonniers d'une terre étrangère.
Miss sato était une japonaise de vingt neuf ans, si on comptait pas ces années en hyper-sommeil, qui avait eut une vie compliqué et palpitante, virée de chez elle a 15 ans, elle avait survécut dans le monde bizarre des "idols", a moitié modèle, a moitié prostituée, elle avait échappée a ce monde, grace a un talent et un amour intense de la musique.
Piano, violon, guitare, était les instruments qu'elle maitrisait...après des groupes divers et variés, elle avait rencontré une bande de hardeuse-punk de sa ville natale.
Breedear, un groupe de hard-rock, basse, batterie, deux guitares et une chanteuse, que des filles...cinqs albums, deux tournée...tout ca avait fini dans les neiges du canada...une horde d'infectés, un massacre, le sauvetage par les gens bizarre du projets phénix..enlevée, endormie...dans les étoiles...
Tsubasa sato sortit en trombe de l'usine du pont 46; où elle travaillait ou perdait son temps selon les jours...Elle prit le turbo-ascenseur pour se rendre au rendez-vous qu'elle avait fixé a son nouvel ami francais.
Elle vérifiat sa tenue et sa coiffure dans le miroir de la cabine, elle croisat le regard de son reflet, et réfléchit a combien de fois elle s'était préparé comme ca ?
Elle voulait quoi ? Sortir avec lui ? Elle se faisait des films, elle s'enflammait, il découvrirait sa vrai personnalitée et la jetterait...elle allez pleurer et.....merde.
-Machina arrète l'ascenceur et retour pont 46. Elle criat presque !
-impossible d'obéir, je ne comprend pas la commande. Répondit l'intelligence artificiel.
-je voudrai que tu....pourquoi ca accélére ? Dit la japonaise en se rattrapant a la barre de sécurité...déséquilibré par une vitesse soudaine.
Elle était presque arrivé a sa destination; le port spatial et elle vit la silhouette de son rencard....saloperie de....machine...
-ding ding spatio-port tout le monde descend !dit la machine avec un ton enjoué.
La japonaise sortit maladroitement du turbo-ascenseur, en se demandant ce qui c'était passé, elle se redressat pour affronter carl.
Dernière édition par Carl Seydlitz le Jeu 2 Nov - 16:15, édité 2 fois
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- Carl Seydlitz
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Carl regarde la fille qui marche a ses cotés...silencieuse...elle a l'air en plein débat intérieur.
Il y a deux minutes, il a sentit de nouveau cette sensation dans la poitrine, comme un vide qui se remplit.
Il regarde son cou, sa peau est blanche; laiteuse, comme celle d'un ange...elle ne prète pas attention, elle l'ignore...carl voudrait...étre...spécial...si foutrement spécial...
Le magasin de karim est juste devant, le francais montre la porte a sa compagne "il a des choses anciennes, qui pourraient t'intéresser."
La fille ne dit rien, inexpressive; elle se laisse guider comme une poupée de porcelaine...soudain elle la voit...
Parmis le fatras de la boutique, roue de vélos, canne a péche, vétements; une petite collection d'instruments de musique et t parmis ceux ci...la guitare.
Tsubasa ne voit plus rien d'autre...un oriental a barbiche discute avec carl, mais elle ne les entend pas !
Il n'exite plus que la guitare, la yamaha pacifica qu'un artiste a restauré comme neuve...sauf le petit boitier a l'arriére qui n'est pas d'origine...la musicienne veut toucher cette perfection...mais elle n'ose pas...
-tu peux la prendre ma soeur dit l'antiquaire avec un sourire.
"Plus besoin d'ampli avec ce pti bidule, c'est un ampli bricolé maison, si tu casse je remplace ! " dit karim avec une pointe de malice.
-tu vend pas des tapies par hasard ? Demande carl avec un clin d'oeil.
-oh laisse la ptite soeur jouait un air! Rétorque karim en mettant la guitare dans les mains de tsubasa.
La fille passe la main sur les cordes...accorde un peu...elle a l'impression de se réveiller d'un long cauchemar...que va t'elle joué...il y a une chanson qu'elle aime bien...
La musique commence doucement et la musicienne sent ses muscles se souvenir de la course sur les cordes...le chant est plus difficile...elle n'a jamais trop aimé chanté...faire le show...
-When you were here before; Couldn't look you in the eye
You're just like an angel; Your skin makes me cry
-You float like a feather; In a beautiful world
And I wish I was special; You're so fuckin' special
But I'm a creep, I'm a weirdo.
What the hell am I doing here?
I don't belong here.
Elle avait fermé les yeux comme quand elle était sur scéne, concentré sur sa partition disait elle...mais elle ne voulait pas voir la foule...les fans... leurs dévotions, leurs adorations...leurs amours...c'était sa plus grande peur, étre changé...se perdre soi meme...elle était bizarre, elle était handicapée...elle voulait qu'il remarque quand elle était pas là....c'ést nul ! Qu'es que je fous ici ? Je ne suis pas d'ici...Elle continuat...
-I don't care if it hurts; I want to have control
I want a perfect body; I want a perfect soul
I want you to notice; When I'm not around
You're so fuckin' special; I wish I was special
But I'm a creep, I'm a weirdo.
What the hell am I doing here? I don't belong here.
She's running out again, She's running out
She's run run run run
Whatever makes you happy; Whatever you want
You're so fuckin' special
I wish I was special
But I'm a creep, I'm a weirdo,
What the hell am I doing here?
I don't belong here.
I don't belong here.
Elle ouvrit les yeux pour voir carl ébahi, le boutiquier était bouche bée, d'autre personnes avaient envahis la piéce, des gris du souk et des clients aux habits colorés...ils l'écoutaient, ils avaient ce regards...elle reposat la guitare et s'enfuit le plus vite possible...she's running out again...
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- Carl Seydlitz
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A poor player that struts (un pauvre comédien)
And frets his hour upon the stage (qui se pavane et s' agite sur la scène)
And then is heard no more (et qu'ensuite, on n'entend plus)
It is a tale, told by an idiot (c'est une histoire dite par un idiot)
Full of sound and fury (pleine de fracas et de furie)
Signifying nothing (et qui ne signifie rien)
--- Macbecth (Act 5, Scene 5) played by Patrick Stewart
28 minutes plus tard, Carl fut très surpris par la collaboration empressé de machina.
En règles générale l'intelligence artificielle répondait a coté, et carl avait acquis le sentiment qu'elle ne l'aimait pas, ou elle le prenait pour un idiot; mais ce n'était qu'une machine ?! Ce n'était pas possible !
Là, l'assistante personnelle avait fourni, adresse et localisation de tsubasa.
Il se rendit au plus vite dans les habitations des gris, au pont 2046.
Les gris représenté le niveau le plus bas du système social du phénix, et si ils ne manquaient de rien, leurs logements n'étaient pas luxueux comme ceux que carl avait visité.
Des chambres communes, des réfectoires; le francais trouvat que cela ressemblé a des dortoirs de lycée, une bande d'ados surveillaient par des robot-pions.
Un couple de jeune-adulte gris...un garcon et une fille, les deux avec les cheveux bariolés le regardèrent entrez dans le réfectoire; un type en uniforme noir du corp,
Les chevrons de sous-officier et...une guitare a la main....c'était pas tous les jours.
Carl demandat si il savait où etait "miss sato" ?
La fille désignat une table et le garcon reniflat bruyamment.
Tsubasa assise a une table ruminait en regardant son plat; supplément nutritif 985...La soupe de nouilles...elle entendit le bruit de la guitare sur la table et vit son rendez-vous de tout a l'heure s'assoir devant elle.
-Tu a oubliée ceci ! Dit le francais doucement.
-j'ai pas les moyens répondit la japonaise séchement.
Carl vit qu'elle avait pleurée et il croyait comprendre "c'est un cadeau, elle est a toi ." Dit il avec un sourire.
Elle regardat a droite et a gauche, et vit d'autres humains et ces robots irritant et leurs réglement a la noix; "on peut pas parler ici...suis moi !"
Elle l'entrainat dans la chambre qu'elle partagaient avec trois autres femmes, mais elles n'étaient jamais là; elle déposat la guitare sur un lit et fit face a son tourmenteur les bras croisés sur la poitrine, et l'air d'attendre une bonne baston.
-qu'es ce que tu veux ? Aboyat elle.
-et bien, c'est incroyable ! Tu me donne rendez-vous, en me disant que tu as une chose très importante a me dire, je t'offre la guitare et tu t'enfuis... Dit il calmement.
-ah oui ! Je vois le genre, tu crois que je vais me jeter a tes pieds pour une yamaha d'occase dans un magasin pouilleux. Elle était en colère, elle savait meme pas pourquoi ! Elle fit reculer carl en avançant le poing menaçant, jusqu'aux casiers muraux, là était rangé toute la vie de la jeune femme, ce qu'elle avait réussi à emporter lors de ce mois d'enfer dans un maison barricadée dans les neiges du Canada, c'est à dire....pratiquement.....rien.
-bon tu es en colère, je sais pas si j'ai fait un truc de mal, depuis trois semaines, j'ai aimé discuter et me promener avec toi...mais...il sentit une grande tristesse, ca venait pas de lui...il avait presque accépté sa nouvelle vie...elle brisa le fil de ses pensées...elle criait sur lui...
-tu pense que c'est normal d'étre amoureuse, je vois ca d'ici...on vas se marié, avoir quatres gamins et vivrent heureux, jusqu'a la fin...elle sentit les larmes sur ces joues, elle serrat les poings si fort que ses articulations blanchirents; elle s'en voulait de ne plus savoir se controler, elle se resaisit, la rage s' estompe. ..ne reste plus que la tristesse et ce sentiment d'injustice; "écoute, il y a eut 7 milliards de mort, mes amies...mes parents, ma soeur..ma niéce...eri...elle avait quatres ans...elle voulait quoi ?? Putain ! Elle voulait des bisous et des calins...et cette poupée de chiffons et de porcelaine que je lui avais acheté a paris... pourquoi elle est morte ? Et pas moi ?!
-je suis rien, une ratée, une nulle, une zéro.....je mérite pas de...
-je ne crois pas, tu es une fille sensible et intelligente, je...essayat il.
-tu sais ! J'avais un poignard dans mon sac, ce jour là...sous l'arbre...je fumai ma derniaère clope, et je le plongai...dans mon coeur, mais tu été là...et je ne veux plus mourir....et je t'aime...voilà c'est dit.
Elle tremblait tellement, sous le coup de l'émotion qu'elle vacillat, carl la prit dans ses bras, elle résistat un peu puis s'abandonnat aux flots des larmes.
Il caressat ses cheveux alors qu'elle pleurait sur lui, le vide de son coeur se remplit.
-je sais, les morts...ils vivent en nous, dans nos souvenirs et dans nos coeurs, il y aura toujours une petite partie de ta nièce...eri...dans ton coeur, je sais que...parfois ce serat dur, mais tu dois vivre pour tout ceux qui n'ont pas notre chance d'etre ici et maintenant...
Elle était ivre de tristesse, les paroles de cet homme la touchait...il avait pensé comme ca, ils étaient pareils, ils se comprenaient...il avait son eri a lui, quelque part, une personne très chère à son coeur et c'était bien...elle avait fait un rêve, dans la pièce fermée, elle était sous un arbre mort, le vent caressait ses longs cheveux et elle avait un zippo dans sa main.
This is what I mean when I'm talking about time and death and futility. But right
(C'est ce que je veux dire, quand je parle du temps, de la mort et de futilité. Mais)
there in the last instant it's an unmistakable relief. See, 'cause they where afraid and
(Juste là, au dernier moment; un soulagement indubitable. Tu vois, ils avaient peur )
in now they saw for the very first time... How easy it was to just let go. All your life, all
(Et maintenant ils ont vu pour la première fois... comment c'est facile de renoncer.
Toute ta vie)
your love, all your hate, all your memories, all your pain, it was all the same thing. It
(Tout l'amour, toute la haine, tout les souvenirs, toute douleur, c'était la même chose)
was all the same dream. A dream that you had inside a locked room.
(C'était le même rêve. Un rêve que tu as eut dans une pièce fermée à clé)
---True Detective - the locked room (2014) written by Nic Pizzolatto
Dernière édition par Carl Seydlitz le Jeu 2 Nov - 1:14, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Il faut s'y brûler
De même l'amour.....haïku d'un auteur inconnu
Le Haïku est un poème japonais composé de trois vers.
Elaboré sur le rythme 5 / 7 / 5, il retranscrit la beauté fugace d'un instant de vie;
il exprime un sentiment éphémère mais fort.
Bref, c'est la frugalité par excellence !
Carl rentrait chez lui...il eut le sourire.
Pour la première fois il sentait que cette appart...ce vaisseau devenait sa maison.
En entrant, chez lui, il sentit l'odeur...."oh ca sent bon !"dit il tout haut.
La jeune miss sato surgit de la chambre, comme un diable d'une boite.
Elle s'était vétue d'une robe blanche avec des motifs de fleurs rose, et cachait obstensiblement quelque chose dérriére elle.."bienvenue !" Criat elle dans le style particulier de la femme au foyer nippone.
-oh salut ! Dit le francais avec un air amusé.
Depuis deux semaines elle squattait sans vergogne son appartement.
-j'ai un truc important...commenca carl....oui mais avant cadeau ! Dit tsubasa en sortant une boite en forme de coeur avec un ruban rose; elle s'inclinat et tendit l'objet a deux mains.
-euh ? Le francais prit le cadeau a deux mains lui aussi; il avait appris que ce n'était pas polie de le faire de manière désinvolte a la francaise..."humm c'est quoi ?...du chocolats !?" Dit il d'un ton enfantin.
-oui le 14, les filles offrent du chocolat a l'élu...de leur coeur ! Dit la fille en applaudissant...hystèrique.
-chouette tradition ! Dit carl tranquillement.
-la saint valentin est importante, le 14 mars les garcons offrent des gateaux, si ils partagent les sentiments...tu comprend ? Le ton était un peu profeseurale.
-oh le 14, j'ai zappé, mince ca m'es sortie de la téte...a cause de cette histoire de...il s'éclaircit la gorge "j'allais te demandez de venir vivre ici..."mais on a pas le droit car je suis grise. Conclue t'elle en clignant les yeux.
Ils finissaient les phrases de l'un et l'autre, diffiile de dire a l'autre de pas t'interromptre...c'était comme une fusion d'esprit, carl posat la boite sur le coin cuisine aprés avoir dénoué le ruban, il ouvrit la boite et prit le petit papier recouvert de quelques katakana qu'on avait placé délicatement sur les chocolats.
Il ne lisait pas l'écriture du japon, la jeune femme qui l'avait suivis, lui fit un petit signe pour qu'il retourne le papier et trouve une traduction francaise...
-tu l'a traduite toi méme ? Dit carl avec un sourire en coin; elle fit oui...il goutat un des chocolats en forme d'ourson et....c'était le meilleur qu'il est jamais mangé...il essayat d'ètre objectif...bien sur qu'il était de plus en plus amoureux de cette fille étrange mais...
-tu es patissière ? Demandat il...elle s'applaudit en riant..."non j'ai trouvé la recette et je l'ai faite...tu aime ?" Carl jettat un oeil au désastre dans la cuisine...la robo-bonne aurat du travail demain, se dit il.
-bon je considère que c'est un défi, j'ai un mois pour faire un gateau aussi bon,
Que ces petits nounours avec des noisettes ?
-des cookies ! Précisat la jeune femme...puit elle lui sautat au cou...
Le francais rompit l'envoutement...quatre heures plus tard.
Il intellectualisait beaucoup ces relations avec les autres...pour se rassurer, par peur de souffrir...pendant des années, il avait utilisé, un faux-soi, un masque pour étre conforme a ce que le monde attendait de lui, une coquille, une armure...brillante...
Depuis quelque temps il se sentait apaisé...il acceptait ses sentiments, il écoutait sa part d'ombre, il savait que ce serait trés long; mais il sentait qu'il était lui meme...
Les souvenirs de ses vie, le prof de collége, le controleur frenchy, et maintenant cet humain du futur, commencaient leur unification...
Tsu était a moitié endormis dans le lit...elle caressait son torse.."mon chevalier " soufflat elle...le frisson parcourut l'échine de carl...elle apprenait le francais !
Il avait révé ou bien...non...non !? Elle le manipulait, elle lui retournait le cerveau...bon pas que le cerveau...mais elle ne voulait pas aborder le sujet qui fache...
Elle était comme lui...pour la première fois, il avait a ses cotés, son alter-égo, son égale...oh a quel point il commencait a aimer cette fille, elle le comprendrait, il devait lui parler comme a lui meme... et là ca signifier; lui secouer les puces !
-je crois que c'est le moment de parler...dit il fermement.
-je suis fatiguée, laisse moi dormir... elle faisait semblant d'étre fatiguée.
-d'habitude les femmes aiment parler après l'amour. Enchainat carl, et fumez une cigarette...il se redressat et s'emparat du paquet de tsu, et de son briquet.
-bah ! Elle ouvrit un oeil, puis les deux....elle avait envie de s'en griller une..
Voyant qu'il avait son attention, il commencat.
-sur le phénix, les gris sont conisidéraient comme des parias, des gens dangereux pour eux meme ou les autres, donc des mineurs...hors j'ai cherché toute la journée pourquoi tu était une grise...
-laisse tombez, carl dit elle en saisissant le paquet de clopes "je suis pas trés intelligente et..."
-oui tu joue de 10 instruments, tu apprend a une vitesse stupéfiante, les langues, et comment faire des chocolats délicieux, tu as de la culture, et je crois que tu es une surdouée.
-euh !? Ah bon ! Dit elle en clignant des yeux.
-tu peux repasser le concour, je t'aiderai a te préparer, focaliser ta pensée..."oui mais les épreuves physiques" s'exclamat tsu "je suis faible et bonne a rien...une vrai larve"
-je vais t'entrainer, et te botter les fesses, tellement fort que tu va courir trés vite dit il avec un sourire inquiètant.
-euh bon...c'est dommage qu'il faut faire une demande auprés d'un DS, pour une seconde chance dit elle avec un sourire ironique de genre :
"je viens de te moucher !...morveux de francais !" Mais carl ne changait pas d'expression...oh zut !
-j'ai obtenu l'autorisation cette après midi...nous avons un mois pour faire de toi une championne...tsu parut désespérée, carl allumat le briquet et dit "bon tu la fume cette cigarette, profite, c'est ta dernière avant un mois..."il lui fit un clin d'oeil qui voulait dire "je viens de clouer le bec !"
Une dernière cigarette ! Mais quoi ! Il voulait qu'elle meure...elle inspirat la fumée et le vit dans l'ombre...pour savoir ce qu'est le feu, il faut s'y bruler...de meme l'amour...
Dernière édition par Carl Seydlitz le Mer 1 Nov - 3:51, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Carl s'étire un peu "bon dans un film on met une musique de rock avec des images de l'héroine qui s'entraine....et fait des progrès..." tsu regarde carl en baillant.
jje suis pas sur de...essaye t'elle en prenant une pause.
-étire toi, pour chauffer tes muscles...dit le controleur principale senior a la noob. "On est pas dans un film, tu va suer et avoir mal, et te bouger les fesses !"
Elle commencat a singer le francais en ralant."je bouge...je bouge...mes fesses !"
Il attendit une dizaine de minutes, en la regardant avec un sourire.
-bon dix kilomètres pour commencer ! Dit il en démarrant à petite foulées.
La fille suivit du regard déjà fatiguée le francais, puis se mit en mouvement...
Elle tombat, se relevat...retombat..."tomber huit fois et se relever dix...tout ce qui ne te tue pas, te rend plus fort !" Lui dit catl au bout d'une semaine.
"T'a lut ca dans un bouquin de nietcshe ?" Elle était trempée, fatiguée, épuidée; le dos a un arbre dans la forèt..."ah bon ?! Je croiyai que c'était dans conan le barbare" répondit il avec un sourire narquois.
-le film avec shwarzie ! Si j'étais shwarzie, je me léverai et je te botterai le culs ! Dit la ravissante asiatique avec un sourire carnassier.
-humm si tu était shwarzeneger, je crois pas qu'on seraient là...
Tsubasa aimait se plaindre...mais elle prit gout a cet entrainement, elle réfléchit sur le sens de sa vie...l'usine où elle faisait un boulot chiant...vérification de divers équipements, inspecter des travaux finis par des robots ultra-compétents...attendre la fin du quart pour griller une clope...attendre la fin de la journée pour aller pleurée dans son plummard...elle clignat des yeux...elle avait essayé de s'adapter a ce nouvel environement...mais pas de réponses a cet question ! "Pourquoi vous m'avez réveiller ?" elle ouvrit les yeux...
-pourquoi on t'a réveillé ? Carl ? Elle lui posat cette question au cours d'une séance de relaxation.
-je suis...dit il, puis il c'était arrèter...inexplicablement ; tsu vit son expression, il ne veut pas me mentir, et il ne peut me dire la vérité "je comprend." Dit elle en refermant les yeux...un ciel bleu...une mer bleu...
Elle devenait une dur à cuire, elle voulut apprendre à se battre, tirer...et toute ces choses qu'elle ne connaissait pas; elle comprit qu'elle n'était pas faible...pas une nulle, et que si elle avait été une victime autrefois ? Une touche de noirceur sur son coeur; elle n'aimait pas montrer ces cicatrices, peut être un jour, elle devrait le dire à ce maudit francais, quand elle serait prête...
Des choses qu'elle s' avouait pas, qui vous fragilise; elle voulait être protégée, carl ne voulait pas la protéger...il voulait qu'elle se défende de tout ce que la vie lui enverrait dans les dents...elle avait compris et elle commencée a l'aimait pour ça.
La larve briserait son cocon...elle se transformerait en papillon.
Au final, carl fut étonné d'étre surpris, quand elle re-passat le concours, elle se retrouvas avec la note maximale...elle pouvait devenir navigatrice, ou tout ce qu'elle voulait...un sujet prometeur pour le projet Phénix...une future directrice primat, une des porteuses de la torche qui éclaire le monde...
Puis elle choisit de rejoindre le corp alpha... et carl fut déçu...
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- Carl Seydlitz
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khoro parcourait les coursives du camp d'entrainement du corp alpha, dans son uniforme de service. Controleur principale junior, il était plutot content de lui...
Il avait refusé la promotion, car il ne se sentait pas a l'aise, comme chef de groupe, mais il avait donné un nom.
Carl ferait trés bien l'affaire, et il le laisserait faire ce qu'il voulait dans l'organisation.
Bruno fit un signe de la main a deux autres sous-offs ; Echo, un amérindien trés cool et bulldog41, un anglais avec un physique de rugbyman.
La salle dee stockage du fourier grouillait de controleurs attendant leurs équipements de combat...des newbies...des bleus...de la chair fraiche.
La promo d'avril 2066, une trentaine de gosses qui avaient passés le concours de mars et s'était dit qu'ils allaient sauvé le monde dans le corp alpha...trés jeunes...trés naifs...
Le controleur freya treize, une finlando-suedoise, s'était cassés trois os du genoux dans un accident d'hovercart...et les bio-logs avaient dit que le traitement régénératif prendrait trois semaines...donc khoro cherchait un deuxième techno pour remplacer freya au cas où le groupe partirait d'urgence en mission.
-hum hum fit il doucement, il ne provoquat pas de réaction, donc il s'éclaircit la gorge bruyamment.
Un gosse de quinze ans l'apercut, et hurlat "section garde a vous !" Provoquant la panique chez les bleus...c'était mieux, voire ces gosses paniquer etait réconfortant...dans un mois...ceux qui resteront, n'auront plus peur de rien.
-section repooos dit bruno en imitant l'accent du superviseur mad-cow; "je cherche le controleur zéro !"
-je suis là sergent dit une voix féminine. Bruno regardat la fille qui était presque équipée de pied en cap...
Carl lui avait stipulé qu'il voulait pas de controleur trop jeune dans le groupe, après il avait pas dit que bruno ne devait pas choisir son ex-petite amie; tsubasa n'avait pas prit un tag trop sexy comme controleuse; elle aurait put choisir, butterfly, farfalle ou papillon, mais elle avait pris "zéro"...elle regretter des trucs...elle se sentait nulle.
Khoro l'accompagnat a l'armurerie, et elle recut ses armes et le drone de soutien tactique, qui serait sa raison d'étre dans l'équipe sniper.
Bruno obervat la jeune femme...elle avait l'air professionelle, mais un peu timide...introvertit...elle était peut etre malheureuse...le franco-camerounais riait déjà de sa bonne blague...ils retomberont amoureux, et carl redeviendrait comme avant...et puis c'est que pour deux semaines...
Le padd de bruno émit un petit son, "oui machina ?" Dit il.
-une alerte gamma vient d'étre déclarer khoro, tout le personnel de la compagnie vautour doit rejoindre le pont d'envol.Dit la voix de machina.
-et merde...oh merde...bordel...de....merde dit l'africain; il fit signe a tsubasa de le suivre fissa..."vient...on va allez au dortoir, poser ton stuff, et je dois m'équiper...on rejoindrat le groupe relic...plus tard !" La japonaise s'arrétat !
-quoi ! Le groupe relic ! Mais...
-on verrat plus tard, si on le croisent met ton casque, dit bruno en l'entrainant dans des couloirs immaculés...
Le groupe prit un Rorqual, le modèle de transport lourd permettant de prendre une quinzaine d'alphas et leur matèriel d'ordonnance.
Carl fut le dernier a s'installer, il attendait son adjoint et le nouveau...l'officier de vol lui tapat sur l'épaule " il prendrat le dolphin" dit ce dernier.
L'engin s'élevat doucement, les portes arrières et centrale se fermèrent...le rorqual glissat, les générateurs anti-gravités poussèrent le vaisseau, vers la baie, vers l'espace, vers la planète brune.
Dans le dolphin, khoro reprit sa respiration quand le cocon est la substance huileuse disparut, il jetat un oeil a la fille qui activait sa visière est eut une violente quinte de toux.
-ca va controleur ? Dit le franco-camerounais.
-oui...oui...non ca va pas ! Dit elle en reprenant son souffle; "ce voyage a mach 15 me retourne l'estomac,....et je comprend pas ce que je fais ici ?
-et oui ? Dit bruno en essayant de trouver une histoire cohérente...
-vous savez que je connais le controleur-principal-senior? Dit la japonaise en faisant la moue.
-ca devait pas se passer comme...ca ! Je suis un con ajoutat il en pensée.
-il va me virer dés qu'il va me voir ! Dit elle tristement.
-euh ?! Mais si il te voit pas ! Dit l'africain.
L'océan défilait sous le dolphin, le soleil peinait a percer une épaisse couche de nuages noires...a l'horizon la cote de la sibérie, plus loins le désert...un enfer de sables et de ruines...une base militaire oubliée, une tour radio qui avait émit un trés vieux signal...SOS...MAYDAY...MAYDAY...
Dernière édition par Carl Seydlitz le Mar 7 Nov - 0:28, édité 1 fois
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Le cistron était un dispositif téte haute, un hud, réalité augmentée, écran holographique avec interface manuelle et occulaire, une radio multi-bande de 120 canaux avec brouillage, et toute sorte de filtre, thermique, et intensificateur de lumière...elle se sentait invulnèrable dans cette...mon armure de chevalier...aurait dit carl...
L'armement était aussi, trés "badass" le M108 blastech-brandt était un fusils électromanétique gauss tirant des aiguilles de titane de 4mm qui explosait tout sur son passage, les goules n'avait qu'a bien se tenir...
Le dolphin sortit d'un nuage de poussière rougeatre, et s'immobilisat une minute pour laisser descendre khoro et zéro sur la plaine désertique d'un pays qui s'était appelé le kazakstan.
La jeune japonaise fut saisit par la beauté épique de la pousière qui faisait des spirales et des volutes autour d'eux.
Le dolphin bondit vers les cieux, une ascension presque à la verticale.
-khoro pour relic, percuté zone d'inception, deux unités direction cote 56, roger?
La voix de bruno tirat tsu de sa contemplation, elle détachat le petit drone de son sac et entreprit le protocole de reconnaissance.
-bruno, rejoint glock et fish sur leurs position groupe snipe...besoin de reco 700 métres sur objectif, bien prit ?
La voix de carl finit de réveiller tsubasa..."bien prit " répondit bruno.
-relic de zéro...bienvenue chez les vautours, fait bien ce que te dit khoro et tout iras bien, Relic terminé
Khoro tapat tsu sur l'épaule...elle était un peu tétanisée...heureusement qu'elle avait pas eut a parler...elle se demandait comment ca serait de le revoir depuis un mois...
Ohh ca lui avait semblé un an !
Les environs du lac bailkal avait bien changé depuis 2019, un vaste désert, les quelques arbres n'étaient plus que des squelettes, pas de traces de la moindre faune...dans le lointain on devinaient les ruines d'une citée...des siècles d'abandons ???
Non quelque chose devait provoquer une telle dégradation.
L'air était a peine respirable, le HUD donnait des tas de mesure,radiation, chaleur, taux d'humidité, force du vent, pression atmosphérique...et sans la tenue, la japonaise du vingtième siècle n'aurait pas survécut deux heures.
Khoro avancait a bon train en grommelant, il vérifiat tout le temps qu'elle suivait, il y avait devant dans les collinnes un genre de base militaires...quelques fils barbelés et poteau de béton en témoigné encore...plus loin de vieux batiments de l'armée, des dortoirs, hangars et poste de garde...plus loin...une trés grande antenne de communication ondes courtes...l'origine du signal...l'objectif de la mission.
Un chasseur griffon et un drone manticore firent leurs apparition dans le ciel tourmenté...l'appui aérien...c'était bon, de les savoirs là ! Veillant sur le groupe avec leurs roquettes et gatling gauss.
Les quatres alphas était tapis et au aguets dans ce qui avait dut étre autrefois un petit transformateur électrique, a cinquante mètres a leurs gauche le groupe feu et leurs armures lourdes veillait sur la pente qui menait aux ruines d'une petite bourgade...de la bas viendrait l'ennemi.
Le reste du groupe, étaient invisible, mais carl savait que les lourds snipers et les drones de combats fournirait une aide considèrable en cas de combat.
Carl vit les deux appareils rejoindre le dolphin de commandement en altitude, il considèrat l'équipe d'assault, et fit un geste d'impuissance au controleur chef bishop, où etait khoro et le nouveau...la météo donnait 4 heures avant la grosse tempête...
Carl ne voulait pas laisser le groupe au sol...pour l'instant aucune trace d'hostile, mais il avait vu les hordes de gris, et c'était comme des vagues d'emmerdes tentant de déchirer les rochers sur la plage...sauf que les rochers...c'est toi !
Et une horde pendant une tempête, c'était pas d'évac, pas de soutien aérien. ...
Bref la merde !
Le drone de reco de l'équipe sniper survolât relic; bien ! Les données commenceraient à parvenir au controleur-lieutenant Dragonhead qui courageusement supervisé l'opération dans un dolphin à 1000 pieds au dessus.
-équipe assault prenez position, équipé feu en couverture 100 mètres, équipé tech, en attente réception vip..? Dit la voix de dragonheard.
-c'est qui vip ? Sergent ? Demandat le chef bishop hilare.
-c'est pas ta mère ! Demandat le controleur de première classe joker.
Carl fit signe a la controleuse lipstick de bien rester derrière lui, et il Chuchotat "go"
Le groupe de 4 s'élancat vers les batiments de la base en ruines...