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- Carl Seydlitz
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rapport de statut...condition nominal...ok pour le top .....bonne chance, F.r.e.n.c.h.y...
La voix résonne dans ma tête, je ressens la calme détermination, je sens la peur qui me paralyse, et puis l'accélération ...
Je tombe....un tunnel en 8 dimensions, des vagues de couleurs, un océan de son, je suis le surfeur cosmique dans son armure d'argent...
"reste dans ton coma, avec ta frustration mec" dis une voix....je la connais ? ....il y a trop de bruit.....un bruit froid, métallique....industrielle....une fille avec une coupe de cheveux futuriste m'a souris....puis elle m'a injecté des produits dans les veines.
Je me souviens d'une autre vie....tout était si simple...nostalgie...
Des fils qui s'entremêlent...se croisent...se perdent...une manufacture de textile sans ouvrières, sans personne pour couper les fils...
Où est la tisseuse....
Je suffoque...j'ai froid...le bruit est une couleur....pour moi...pour moi...pour moi....pour moi.....pour moi....pour moi....moi...
Je veux revenir dans le bruit.....je veux...revenir....dans....le bruit..
"PLUS DE REPETITION CHERI, machine reprend le contrôle" dit une autre voix plus féminine et la chute reprend je tombe....je suis un chûteur du temps...
"DANSE AVEC MOI CHERI, LE FUTUR EST LA"
Je tente d'analyser la situation le liquide est une odeur, le parfum est un goût, le bruit une couleur, j'essaye de comprendre...
"TU N'ES PAS SCIENTIFIQUE CHERI , DANSONS UNE VALSE"
"TU N'ES PAS SCIENTIFIQUE CHERI, SOIS L'HOMME TECHNOLOGIQUE"
-Tu veux pas être dans ce bruit ? mec ! dit la première voix.
-Célèbre ta chance mec ! de voir toutes ces couleurs....hummpf continue la voix en retenant un sanglot
"it's mean so much to me....it's mean....so ....much ....to me....it's mean s...o....m....uu...CCC....HHH to....me..."
"PLUS DE REPETITION CHERI " reprend la jeune femme
"TU NE PEUX M'ECHAPPER, COURS, COURS CHERI"
"ESSAYE DE M'ECHAPPER ET TU VERRAS LA...."
et puis le retour de flamme, la fin du chemin, le bout du tunnel,
le vent sur ma peau, l'odeur de la mer, la terre sous mes pieds...
J'ouvre les yeux et je regarde la cote de tchernarusse sans comprendre, pendant un moment....
-oooh BRAVO ! dit le vagabond en regardant dans tout les sens....il fixe son attention sur le monument où est gravé le nom d'une ville qu'il connait bien....."électro....merde je suis encore a électro " dit il en se mettant a pouffer, puis il est pris d'un rire incontrôlable....tout revient en lui....toutes ses pensées les plus secrètes reviennent.... c'est comme une drogue très forte, mais qui fait rigoler...
Pendant cet instant, il y a un murmure dans sa tête, une voix enfantine, celle de la femme de tout a l'heure, mais 20 ans avant quand elle n'était qu'une toute petite fille...et qu'elle avait envie de jouer ou de faire un gros caprice.
"ON CE RECONCILIE, BON RETOUR A TOI"
"ON VA BIEN S'AMUSER...CA VA ETRE FUN,FUN,FUN,FUN,FUN"
"TU VA BIEN T'AMUSER AVEC NOUS"
Alors le vagabond fit silence, il entendit la plainte des esprits, des milliers, des centaines de milliers, des millions !
Partout dans les rues, les maisons, les immeubles d'électro....une foule qui attendait...une foule qui attendait quoi ?
Et au milieu de la ville, il crut apercevoir une fillette qui dansait....une fillette qui menait la danse...qui menait....qui....menait...la.....
"PLUS DE REPETITION CHERI, MACHINE REPREND LE CONTROLE"dit la petite voix d'une enfant gatée...
voila le chapitre 3 des chroniques de la porte des morts; merci a tous pour vos journaux et histoires dont je ne cesse de m'inspirer.
La voix résonne dans ma tête, je ressens la calme détermination, je sens la peur qui me paralyse, et puis l'accélération ...
Je tombe....un tunnel en 8 dimensions, des vagues de couleurs, un océan de son, je suis le surfeur cosmique dans son armure d'argent...
"reste dans ton coma, avec ta frustration mec" dis une voix....je la connais ? ....il y a trop de bruit.....un bruit froid, métallique....industrielle....une fille avec une coupe de cheveux futuriste m'a souris....puis elle m'a injecté des produits dans les veines.
Je me souviens d'une autre vie....tout était si simple...nostalgie...
Des fils qui s'entremêlent...se croisent...se perdent...une manufacture de textile sans ouvrières, sans personne pour couper les fils...
Où est la tisseuse....
Je suffoque...j'ai froid...le bruit est une couleur....pour moi...pour moi...pour moi....pour moi.....pour moi....pour moi....moi...
Je veux revenir dans le bruit.....je veux...revenir....dans....le bruit..
"PLUS DE REPETITION CHERI, machine reprend le contrôle" dit une autre voix plus féminine et la chute reprend je tombe....je suis un chûteur du temps...
"DANSE AVEC MOI CHERI, LE FUTUR EST LA"
Je tente d'analyser la situation le liquide est une odeur, le parfum est un goût, le bruit une couleur, j'essaye de comprendre...
"TU N'ES PAS SCIENTIFIQUE CHERI , DANSONS UNE VALSE"
"TU N'ES PAS SCIENTIFIQUE CHERI, SOIS L'HOMME TECHNOLOGIQUE"
-Tu veux pas être dans ce bruit ? mec ! dit la première voix.
-Célèbre ta chance mec ! de voir toutes ces couleurs....hummpf continue la voix en retenant un sanglot
"it's mean so much to me....it's mean....so ....much ....to me....it's mean s...o....m....uu...CCC....HHH to....me..."
"PLUS DE REPETITION CHERI " reprend la jeune femme
"TU NE PEUX M'ECHAPPER, COURS, COURS CHERI"
"ESSAYE DE M'ECHAPPER ET TU VERRAS LA...."
et puis le retour de flamme, la fin du chemin, le bout du tunnel,
le vent sur ma peau, l'odeur de la mer, la terre sous mes pieds...
J'ouvre les yeux et je regarde la cote de tchernarusse sans comprendre, pendant un moment....
-oooh BRAVO ! dit le vagabond en regardant dans tout les sens....il fixe son attention sur le monument où est gravé le nom d'une ville qu'il connait bien....."électro....merde je suis encore a électro " dit il en se mettant a pouffer, puis il est pris d'un rire incontrôlable....tout revient en lui....toutes ses pensées les plus secrètes reviennent.... c'est comme une drogue très forte, mais qui fait rigoler...
Pendant cet instant, il y a un murmure dans sa tête, une voix enfantine, celle de la femme de tout a l'heure, mais 20 ans avant quand elle n'était qu'une toute petite fille...et qu'elle avait envie de jouer ou de faire un gros caprice.
"ON CE RECONCILIE, BON RETOUR A TOI"
"ON VA BIEN S'AMUSER...CA VA ETRE FUN,FUN,FUN,FUN,FUN"
"TU VA BIEN T'AMUSER AVEC NOUS"
Alors le vagabond fit silence, il entendit la plainte des esprits, des milliers, des centaines de milliers, des millions !
Partout dans les rues, les maisons, les immeubles d'électro....une foule qui attendait...une foule qui attendait quoi ?
Et au milieu de la ville, il crut apercevoir une fillette qui dansait....une fillette qui menait la danse...qui menait....qui....menait...la.....
"PLUS DE REPETITION CHERI, MACHINE REPREND LE CONTROLE"dit la petite voix d'une enfant gatée...
voila le chapitre 3 des chroniques de la porte des morts; merci a tous pour vos journaux et histoires dont je ne cesse de m'inspirer.
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- Carl Seydlitz
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Jour 1
La base aérienne est une ruche vibrante d'activité, en ce jour de printemps 2016.
C'est le plus gros camp des forces légalistes sur la côte est du pays, tout un régiment des force tchernarussienne est stationné pour défendre l'endroit, avec l'aide de l'ONU.
Des éléments internationaux encadrent les locaux....enfin...ils font leurs boulot....difficile d'être concentré au milieu d'une guerre civile, avec cette maladie en plus.
Le taux de désertions atteint des sommets...les généraux disent qu'ils passent a l'ennemi...mais je n'en suis pas sur....je me demande ce qui ce passe en France...je me demande si je ne retournerai pas chez moi, protéger les miens...
L'équipe c'est installé dans un casernement bondé...a la guerre comme a la guerre, du moments que la troupe a du thé et des crackers....
jour 2
Des crânes-boulons m'ont offert un café !
Ces paras Français sont des éléments des 3 iem, 6 ieme et 8 ieme RPIMa, réunit a la va-vite pour renforcer la 9 ieme brigade de L'ONU.
Ils ont l'air aussi dépassé que tout le monde par la situation; professionnel de la guerre; peut être !
Mais le combat contre les infectés n'est pas exactement ce a quoi ils ont été formé...
Un capitaine me parle de Copenhague....il me demande dans quel régiment j'ai servi....quel entraînement ont fait de moi ce héro.....je lui répond....il n'a pas aimé ma réponse...
Je suis prof d'histoire-géo dans un collège d'île de france...mes élèves étaient des zombies, abrutis par la télôche, ils ne voulaient pas me manger le cerveau...enfin pas tous...
jour 4
L'inaction est frustrante, le colonel responsable de ce "grand aéroport" nous ignorent royalement, le responsable des nations-unis est débordé par l'afflux des réfugiés qui fuient les "chedakis"...enfin c'est la propagande gouvernementale, car bon nombre de ces réfugiés fuient la maladie, pas des guérilleros avec des couteaux entre les dents...
"Il va falloir sécuriser avant vôtre intervention", ma dit un porte-parole des marines....l'adjudant troutmann a glousser devant ce capitaine et il a ajouté avec son accent de l'alabama :
"T'a pas tout compris mec ! ca t'arrive souvent mon c'pitaine ?"
Puis il a fait signe a l'officier d'allez ce faire torcher....ou un truc du genre.
Curieux !? je crois que troutmann est un soldat loyal, il supporte peut être plus toutes les conneries que l'on nous sort...
Franchement on est passé par des endroits....je veux dire...ca craignait...les insomniaques...les infectés....mais on se débrouillent e, on est là pour travailler en zone rouge, on a pas besoin de nounous des marines ou pas.
jour 6
Ce soir nous allons faire le mur, voler une voiture et un camion pour rejoindre Electro et le poste de commandement des "teams-alphas".
j'ai demandé aux gars et aux filles de l'équipe, et tous sont d'accord pour dirent que sur cet aéroport on sert a rien !
La contrôleuse wiskeyjar a résumé la courte discussion par ces mots..
"fuck'in airfield of fucking shit we're useless !"
Tout le monde est plus serein, l'action est le danger, la ballade parmis les infectés....merde ! c'est un peu comme si on rentrer chez nous
La base aérienne est une ruche vibrante d'activité, en ce jour de printemps 2016.
C'est le plus gros camp des forces légalistes sur la côte est du pays, tout un régiment des force tchernarussienne est stationné pour défendre l'endroit, avec l'aide de l'ONU.
Des éléments internationaux encadrent les locaux....enfin...ils font leurs boulot....difficile d'être concentré au milieu d'une guerre civile, avec cette maladie en plus.
Le taux de désertions atteint des sommets...les généraux disent qu'ils passent a l'ennemi...mais je n'en suis pas sur....je me demande ce qui ce passe en France...je me demande si je ne retournerai pas chez moi, protéger les miens...
L'équipe c'est installé dans un casernement bondé...a la guerre comme a la guerre, du moments que la troupe a du thé et des crackers....
jour 2
Des crânes-boulons m'ont offert un café !
Ces paras Français sont des éléments des 3 iem, 6 ieme et 8 ieme RPIMa, réunit a la va-vite pour renforcer la 9 ieme brigade de L'ONU.
Ils ont l'air aussi dépassé que tout le monde par la situation; professionnel de la guerre; peut être !
Mais le combat contre les infectés n'est pas exactement ce a quoi ils ont été formé...
Un capitaine me parle de Copenhague....il me demande dans quel régiment j'ai servi....quel entraînement ont fait de moi ce héro.....je lui répond....il n'a pas aimé ma réponse...
Je suis prof d'histoire-géo dans un collège d'île de france...mes élèves étaient des zombies, abrutis par la télôche, ils ne voulaient pas me manger le cerveau...enfin pas tous...
jour 4
L'inaction est frustrante, le colonel responsable de ce "grand aéroport" nous ignorent royalement, le responsable des nations-unis est débordé par l'afflux des réfugiés qui fuient les "chedakis"...enfin c'est la propagande gouvernementale, car bon nombre de ces réfugiés fuient la maladie, pas des guérilleros avec des couteaux entre les dents...
"Il va falloir sécuriser avant vôtre intervention", ma dit un porte-parole des marines....l'adjudant troutmann a glousser devant ce capitaine et il a ajouté avec son accent de l'alabama :
"T'a pas tout compris mec ! ca t'arrive souvent mon c'pitaine ?"
Puis il a fait signe a l'officier d'allez ce faire torcher....ou un truc du genre.
Curieux !? je crois que troutmann est un soldat loyal, il supporte peut être plus toutes les conneries que l'on nous sort...
Franchement on est passé par des endroits....je veux dire...ca craignait...les insomniaques...les infectés....mais on se débrouillent e, on est là pour travailler en zone rouge, on a pas besoin de nounous des marines ou pas.
jour 6
Ce soir nous allons faire le mur, voler une voiture et un camion pour rejoindre Electro et le poste de commandement des "teams-alphas".
j'ai demandé aux gars et aux filles de l'équipe, et tous sont d'accord pour dirent que sur cet aéroport on sert a rien !
La contrôleuse wiskeyjar a résumé la courte discussion par ces mots..
"fuck'in airfield of fucking shit we're useless !"
Tout le monde est plus serein, l'action est le danger, la ballade parmis les infectés....merde ! c'est un peu comme si on rentrer chez nous
Dernière édition par carl seydlitz le Jeu 6 Avr - 17:38, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Il était une fois....une lumière blanche...elle l'a soulevé, appelé, prié....il a quitté cette endroit si sombre et cynique...il a sacrifié son égo....ou il va le faire ?
Il ne sait pas...il ne sait plus...la lune lui a confié un secret...la pièce est blanche, la lumière est froide, aseptisée...propre...médicale...il ne peut pas bouger, parler...oh ! il a tant de chose a dire, sur tout, sur rien...il a tant de rien a dire, il entend des voix, il ouvre les yeux.
-je vois pas ce que ce pâle a de spéciale camarade dit une voix avec un accent russe "c'est qu'un macchab comme les autres et le professeur nous cassent les pieds avec son projet de..."
-chuut capitaine dimitrovitch le voilà ! chuchote une femme avec une petite voix...
le fauteuil électrique du vieillard s'arrête net devant le grand russe et la petite femme blonde....les voix se font plus faible et le patient n'entend plus rien ce jour là.
Un a téléportez, scotty ! pense le patient 46 en ouvrant les yeux dans l'infirmerie futuriste de ce vaisseau gigantesque.
Deux semaines de questions et de maux de têtes, "je vais pas bien !....je me prépare une dépression carabiné..." déclare t'il a l'infirmière qui s'approche en souriant.
-Non monsieur Carré, nous avons déjà parlez de cela rétorque t'elle avec une moue.
Elle est grande, brune, jolie comme un ange et ses yeux sont verts et quand elle sourit, Carl se souvient d'une chanson de sa jeunesse...la ballade de .....de...il ne sait plus...
-vous êtes en grande forme, monsieur...sauf tout le chocolat que vous engloutissez...j'ai vérifié...les vertus anxiolitique ne sont pas pertinente lui explique t'elle en pianotant sur la console holo du lit.
-mais...essaye carl !
-non ! toute résistance est futile dit l'infirmière implacablement; et puis vous sortez aujourd'hui, un ADJ viens vous chercher dans 1 heure.
La perspective est terrifiante, ce vaisseau spatiale est gigantesque, ces gens du futur sont étrange, la technologie est bizarre..
-Un quoi !? se contente t'il de demander.
-UN assistant directeur junior, un officier débutant si vous voulez répond la fille au yeux vert en regardant par le hublot de l'infirmerie l'espace sombre ou la lune projette ses réflexions.
Un éclat de lune clignote un court instant....la fille se raidie en écarquillant les yeux...un ange passe...
Elle reprend ses esprit "ca va allez monsieur Carré, vous verrez la vie n'est pas si terrible sur le Phénix...c'est dur souvent...mais on est les derniers humains...on se serrent les coudes"
Il ne sait pas...il ne sait plus...la lune lui a confié un secret...la pièce est blanche, la lumière est froide, aseptisée...propre...médicale...il ne peut pas bouger, parler...oh ! il a tant de chose a dire, sur tout, sur rien...il a tant de rien a dire, il entend des voix, il ouvre les yeux.
-je vois pas ce que ce pâle a de spéciale camarade dit une voix avec un accent russe "c'est qu'un macchab comme les autres et le professeur nous cassent les pieds avec son projet de..."
-chuut capitaine dimitrovitch le voilà ! chuchote une femme avec une petite voix...
le fauteuil électrique du vieillard s'arrête net devant le grand russe et la petite femme blonde....les voix se font plus faible et le patient n'entend plus rien ce jour là.
Un a téléportez, scotty ! pense le patient 46 en ouvrant les yeux dans l'infirmerie futuriste de ce vaisseau gigantesque.
Deux semaines de questions et de maux de têtes, "je vais pas bien !....je me prépare une dépression carabiné..." déclare t'il a l'infirmière qui s'approche en souriant.
-Non monsieur Carré, nous avons déjà parlez de cela rétorque t'elle avec une moue.
Elle est grande, brune, jolie comme un ange et ses yeux sont verts et quand elle sourit, Carl se souvient d'une chanson de sa jeunesse...la ballade de .....de...il ne sait plus...
-vous êtes en grande forme, monsieur...sauf tout le chocolat que vous engloutissez...j'ai vérifié...les vertus anxiolitique ne sont pas pertinente lui explique t'elle en pianotant sur la console holo du lit.
-mais...essaye carl !
-non ! toute résistance est futile dit l'infirmière implacablement; et puis vous sortez aujourd'hui, un ADJ viens vous chercher dans 1 heure.
La perspective est terrifiante, ce vaisseau spatiale est gigantesque, ces gens du futur sont étrange, la technologie est bizarre..
-Un quoi !? se contente t'il de demander.
-UN assistant directeur junior, un officier débutant si vous voulez répond la fille au yeux vert en regardant par le hublot de l'infirmerie l'espace sombre ou la lune projette ses réflexions.
Un éclat de lune clignote un court instant....la fille se raidie en écarquillant les yeux...un ange passe...
Elle reprend ses esprit "ca va allez monsieur Carré, vous verrez la vie n'est pas si terrible sur le Phénix...c'est dur souvent...mais on est les derniers humains...on se serrent les coudes"
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- Carl Seydlitz
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Le vieux camp de vacance est lugubre sous la lune.
Le vagabond est fatigué, il a beaucoup voyagé depuis une semaine....dans la région et dans sa tête.
Retrouvé les traces de Troutmann a été étrangement facile....il était toujours a ces côtés....il le suivait...il le traquait.....il le hantait....il..."c'est pas possible !" dit le vagabond a voix haute.
Pourtant, chaque arbre, chaque rocher lui sont si familier...je suis déjà venu ici ! pense le vagabond.
Il chasse cette pensée de son esprit, il regarde la boussole a la lumière de sa lampe-torche.
Pas besoin de carte, a 500 mètres, il y a Novy-sobor....c'est parfait pour créer le Dispensaire....de l'eau, de la place est presque pas de fantôme.
Un infecté se précipite sur lui, mais le vagabond n'est plus un survivant ordinaire...il a survécu a Copenhague et Sofia....et il était a la bataille de Sébastopole....il a trouvé une vielle épée rouillé, mais l'acier en est encore solide....il fait un pas d'esquive et place en coup de haut-en bas a la chose.
-Retourne dormir annonce t'il avant que la lame s'abatte sur le crâne du zombie.
Avec une moue le vagabond, examine le zombie.....oui il dort enfin...la marche sans fin est terminé...il ne rôderas plus comme un insomniaque prisonnier d'un cauchemar infini.
L'infecté avait quelque chose sur lui, le vagabond le fouille est trouve un carnet a moitié moisie.
Le carnet d'ordonnance d'un toubib !
Quelques lignes en cyrilique manuscrite sont encore lisible.
Des mots simples...ceux d'un homme qui s'inquiète pour les siens...
Le vagabond ne sait plus ce que c'est de pleurer les gens...trop de peine....trop de douleur....pas assez de temps....il y a un truc de cassé dans son coeur....les émotions glissent sur lui....il ne veut plus ressentir cette colère quand la fille de la lune a disparu... quand elle est ....morte !?
Il relève la tête et regarde la lune....elle sait...elle sait tout....elle sait que je n'ais pas le temps....elle sait que la mission est une priorité.
-Je vais faire ce que j'ai a faire...rassure-toi....ma confidente murmure t'il avec un sourire.
"pour toi coleen, pour roger, les bulldogs, les équipe alphas...et tout les autres....je suis prét a commencer"....
Le vagabond est fatigué, il a beaucoup voyagé depuis une semaine....dans la région et dans sa tête.
Retrouvé les traces de Troutmann a été étrangement facile....il était toujours a ces côtés....il le suivait...il le traquait.....il le hantait....il..."c'est pas possible !" dit le vagabond a voix haute.
Pourtant, chaque arbre, chaque rocher lui sont si familier...je suis déjà venu ici ! pense le vagabond.
Il chasse cette pensée de son esprit, il regarde la boussole a la lumière de sa lampe-torche.
Pas besoin de carte, a 500 mètres, il y a Novy-sobor....c'est parfait pour créer le Dispensaire....de l'eau, de la place est presque pas de fantôme.
Un infecté se précipite sur lui, mais le vagabond n'est plus un survivant ordinaire...il a survécu a Copenhague et Sofia....et il était a la bataille de Sébastopole....il a trouvé une vielle épée rouillé, mais l'acier en est encore solide....il fait un pas d'esquive et place en coup de haut-en bas a la chose.
-Retourne dormir annonce t'il avant que la lame s'abatte sur le crâne du zombie.
Avec une moue le vagabond, examine le zombie.....oui il dort enfin...la marche sans fin est terminé...il ne rôderas plus comme un insomniaque prisonnier d'un cauchemar infini.
L'infecté avait quelque chose sur lui, le vagabond le fouille est trouve un carnet a moitié moisie.
Le carnet d'ordonnance d'un toubib !
Quelques lignes en cyrilique manuscrite sont encore lisible.
Des mots simples...ceux d'un homme qui s'inquiète pour les siens...
Le vagabond ne sait plus ce que c'est de pleurer les gens...trop de peine....trop de douleur....pas assez de temps....il y a un truc de cassé dans son coeur....les émotions glissent sur lui....il ne veut plus ressentir cette colère quand la fille de la lune a disparu... quand elle est ....morte !?
Il relève la tête et regarde la lune....elle sait...elle sait tout....elle sait que je n'ais pas le temps....elle sait que la mission est une priorité.
-Je vais faire ce que j'ai a faire...rassure-toi....ma confidente murmure t'il avec un sourire.
"pour toi coleen, pour roger, les bulldogs, les équipe alphas...et tout les autres....je suis prét a commencer"....
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- Carl Seydlitz
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Jour 8
L'équipe est arrivé a cherno, un sous-officier du bataillon Néo-Zélandais, nous a laissez entrer dans le camp a l'ouest de la capitale provinciale.
Après avoir supervisé le logements des bulldogs...supervisé car c'est Roger qui a tout fait, je suis partit regardé les alentours....une forêt de pins qui encerclent des grands immeuble de 12 étages.
-Il y a une vue imprenable sur les alentours m'a déclaré le contrôleur bagpipe.
"la vue sur la mer !? oui c'est surement grandiose ! j'ai répondu !
Le sergent de la garde galloise a rigolé et voyant que je comprenais pas; il m'a dit que ce serait une super position pour des tireurs embusqué.
Pour tirer sur qui ? les infectés...les réfugiés...les soldats...l'aérodrome de Ballota me parait très vulnérable.
Jour 10
La visite au PC de l'ONU a été .....étrange...
J'ai le sentiment qu'il règne un chaos indescriptible...entre la bureaucratie...la corruption...et la pagaille.
Le colonel-contrôleur n'a pas cessé de gueuler...sur les chedakis, le gouvernement Tchernarussien, L'onu et sur une capitaine-contrôleuse américaine ; nom de code MOONGIRL.
Mon équipe est assigné a sa compagnie et elle avait pas l'ai contente....elle m'a a peine décoché un regard et dit deux mots.
Puis elle a disparut dans un humvee avec quatre mecs badass et ma laissé là comme un con.
ca m'a rappelé une fille dont j'étais amoureux en quatrième !
Jour 12
Pendant deux jours, l'équipe a aidé dans les zones d'évacuation, rien de bien passionnant en sommes.
C'est un boulot de gendarme, contrôle de papiers et accompagné les gens aux tentes médicale pour un examen rapide.
Un drôle de bonhomme avec son chien m'a fais bonne impression.
Ce français avait fuis la complexité du monde pour devenir bûcheron dans le fin-fond de nulle part.
J'ai peur que le monde ne le rattrape d'ici peu...
L'équipe est arrivé a cherno, un sous-officier du bataillon Néo-Zélandais, nous a laissez entrer dans le camp a l'ouest de la capitale provinciale.
Après avoir supervisé le logements des bulldogs...supervisé car c'est Roger qui a tout fait, je suis partit regardé les alentours....une forêt de pins qui encerclent des grands immeuble de 12 étages.
-Il y a une vue imprenable sur les alentours m'a déclaré le contrôleur bagpipe.
"la vue sur la mer !? oui c'est surement grandiose ! j'ai répondu !
Le sergent de la garde galloise a rigolé et voyant que je comprenais pas; il m'a dit que ce serait une super position pour des tireurs embusqué.
Pour tirer sur qui ? les infectés...les réfugiés...les soldats...l'aérodrome de Ballota me parait très vulnérable.
Jour 10
La visite au PC de l'ONU a été .....étrange...
J'ai le sentiment qu'il règne un chaos indescriptible...entre la bureaucratie...la corruption...et la pagaille.
Le colonel-contrôleur n'a pas cessé de gueuler...sur les chedakis, le gouvernement Tchernarussien, L'onu et sur une capitaine-contrôleuse américaine ; nom de code MOONGIRL.
Mon équipe est assigné a sa compagnie et elle avait pas l'ai contente....elle m'a a peine décoché un regard et dit deux mots.
Puis elle a disparut dans un humvee avec quatre mecs badass et ma laissé là comme un con.
ca m'a rappelé une fille dont j'étais amoureux en quatrième !
Jour 12
Pendant deux jours, l'équipe a aidé dans les zones d'évacuation, rien de bien passionnant en sommes.
C'est un boulot de gendarme, contrôle de papiers et accompagné les gens aux tentes médicale pour un examen rapide.
Un drôle de bonhomme avec son chien m'a fais bonne impression.
Ce français avait fuis la complexité du monde pour devenir bûcheron dans le fin-fond de nulle part.
J'ai peur que le monde ne le rattrape d'ici peu...
Dernière édition par carl seydlitz le Mar 25 Avr - 23:32, édité 1 fois
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- Carl Seydlitz
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Quand Ayuna Clarks rentrait chez elle...une cabine trois pièces, tout confort et individuel...privilège des assistant directeur junior; elle était tellement épuisé que le monde autour d'elle n'existait plus.
Les réunions s'enchaînaient sans fin, les causes de la perte de communications avec les chûteurs, le projet secret et mystérieux du professeur Rosen, étaient inexplicable.
L'américano-japonaise avait capté un message radio et elle avait rejoint le groupe de contrôle du projet "PARABOLA", la lumière avait éclaté devant elle...tout les trucs bizarre du Phénix, ces préparatifs, ces missions de récupérations sur la planète morte, les portraits holographiques sur le mur du mess...on avaient un plan...un truc...ouaih ! on va botter des culs !....
Mais....le professeur Rosen était très vieux et les 15 chûteurs ne donnaient plus de signe de vie...
Et les réunions programmé d'autres réunions pour décider des commissions qui décideraient de...
Bref !....de la merde et Ayuna avait un de ces mal a la tête.
Dans un coin de son oeil, elle crut apercevoir un mouvement; avant de poser son pouce sur la porte automatique de sa cabine elle tourna son regard vers deux hommes qui s'approchaient d'une porte similaire a la sienne.
Elle reconnut instantanément le grand albano-pakistanais...Rabal sanjit...un adj qui avait un petit air condescendant qu'ayuna n'aimait pas chez la plupart de ses collègues....je sais des choses que vous ne pourrait jamais piger ! agacant !
L'autre étaut un type ordinaire avec un air de chaton perdu: il était assez petit dans une combinaison de simple membre d'équipage....pas le genre du coin...un serviteur...pas accréditer pour osé venir ici.
A moins que...non Sanjit ne couchait pas avec des...quoi !?
-un problème avec vôtre porte ADJ Clarks ?! dit Rabal en haussant les sourcils et d'un ton irritant.
Confuse, elle improvisa un "enchanté moi c'est ayuna vôtre voisine" et elle tendit la main au gars ordinaire.
-vous sentez bon répondit l'homme en serrant la main de la jeune femme qui rougit.
"j'veux dire, ya comme une odeur de...de café !? continua l'homme en regardant rabal qui semblait furieux.
-oh je fais des expériences avec le réplicateur pour retrouver l'odeur et le goût du vrai....dit-elle, avant de s'apercevoir que son collégue fulminait.
"mais vous avez certainement plus important a...enchainat-elle avant d'être impitoyablement couper par l'ADJ sanjit.
-pas de temps pour ces sornettes...c'est vôtre cabine monsieur Carré, demain 6h 00 vous avez une journée chargé.
Puis il tourna les talons, et s'éloigna dans la coursive vers l'ascenseur.
Ayuna allongé dans son fauteuil flottant, songea a son nouveau voisin, réfléchit a son visage fammilier et ce dit qu'elle avait déjà vu ce type...mais où ?
La fatigue recommencez a la harceler et elle eut envie d'un café....dans un bistrot...sur une terrasse de Nagoya ou de san francisco....ou a paris....
-OH MERDE ! s'exclama t'elle en se redressant ! c'est un des 15 chuteurs ! c'est le français...!
Mais comment !? se demanda t'elle, le voyage ne va que dans un sens et....oh ! ohoh ! OHOHOH ! non ! conclut-elle surécitée avec des idées plein la tête.
-Machina ouvre trois sessions s'il-te-plait dit Ayuna a l'IA qui gérait le vaisseau Phénix.
"je ne le recommande " pas dit une voix sortie du néant.
Ayuna écarquilla les yeux surprise, elle s'entaidait bien avec machina d'habitude.. "pourquoi ? "demanda t'elle en baillant.
-Tu as un cycle de sommeil trop irrégulier depuis 2 semaines et tes recherches vont en patir, et puis 95 % des données que tu va me demander sont classifié pour le directoire. dt machina d'une voix douce.
"et demain et un autre jour " conclut l'intelligence artificiel puis elle diffusa le 2 ieme concerto pour piano de RACHMANINOFF qui provoquait l'assoupissement de la fille brune a tout les coups.
Elle ne résista pas longtemps, elle réva d'une fillette qui dansait dans les rues d'une citée abandoné, et d'un ours en pelûche....mais c'était plus un rêve...
Les réunions s'enchaînaient sans fin, les causes de la perte de communications avec les chûteurs, le projet secret et mystérieux du professeur Rosen, étaient inexplicable.
L'américano-japonaise avait capté un message radio et elle avait rejoint le groupe de contrôle du projet "PARABOLA", la lumière avait éclaté devant elle...tout les trucs bizarre du Phénix, ces préparatifs, ces missions de récupérations sur la planète morte, les portraits holographiques sur le mur du mess...on avaient un plan...un truc...ouaih ! on va botter des culs !....
Mais....le professeur Rosen était très vieux et les 15 chûteurs ne donnaient plus de signe de vie...
Et les réunions programmé d'autres réunions pour décider des commissions qui décideraient de...
Bref !....de la merde et Ayuna avait un de ces mal a la tête.
Dans un coin de son oeil, elle crut apercevoir un mouvement; avant de poser son pouce sur la porte automatique de sa cabine elle tourna son regard vers deux hommes qui s'approchaient d'une porte similaire a la sienne.
Elle reconnut instantanément le grand albano-pakistanais...Rabal sanjit...un adj qui avait un petit air condescendant qu'ayuna n'aimait pas chez la plupart de ses collègues....je sais des choses que vous ne pourrait jamais piger ! agacant !
L'autre étaut un type ordinaire avec un air de chaton perdu: il était assez petit dans une combinaison de simple membre d'équipage....pas le genre du coin...un serviteur...pas accréditer pour osé venir ici.
A moins que...non Sanjit ne couchait pas avec des...quoi !?
-un problème avec vôtre porte ADJ Clarks ?! dit Rabal en haussant les sourcils et d'un ton irritant.
Confuse, elle improvisa un "enchanté moi c'est ayuna vôtre voisine" et elle tendit la main au gars ordinaire.
-vous sentez bon répondit l'homme en serrant la main de la jeune femme qui rougit.
"j'veux dire, ya comme une odeur de...de café !? continua l'homme en regardant rabal qui semblait furieux.
-oh je fais des expériences avec le réplicateur pour retrouver l'odeur et le goût du vrai....dit-elle, avant de s'apercevoir que son collégue fulminait.
"mais vous avez certainement plus important a...enchainat-elle avant d'être impitoyablement couper par l'ADJ sanjit.
-pas de temps pour ces sornettes...c'est vôtre cabine monsieur Carré, demain 6h 00 vous avez une journée chargé.
Puis il tourna les talons, et s'éloigna dans la coursive vers l'ascenseur.
Ayuna allongé dans son fauteuil flottant, songea a son nouveau voisin, réfléchit a son visage fammilier et ce dit qu'elle avait déjà vu ce type...mais où ?
La fatigue recommencez a la harceler et elle eut envie d'un café....dans un bistrot...sur une terrasse de Nagoya ou de san francisco....ou a paris....
-OH MERDE ! s'exclama t'elle en se redressant ! c'est un des 15 chuteurs ! c'est le français...!
Mais comment !? se demanda t'elle, le voyage ne va que dans un sens et....oh ! ohoh ! OHOHOH ! non ! conclut-elle surécitée avec des idées plein la tête.
-Machina ouvre trois sessions s'il-te-plait dit Ayuna a l'IA qui gérait le vaisseau Phénix.
"je ne le recommande " pas dit une voix sortie du néant.
Ayuna écarquilla les yeux surprise, elle s'entaidait bien avec machina d'habitude.. "pourquoi ? "demanda t'elle en baillant.
-Tu as un cycle de sommeil trop irrégulier depuis 2 semaines et tes recherches vont en patir, et puis 95 % des données que tu va me demander sont classifié pour le directoire. dt machina d'une voix douce.
"et demain et un autre jour " conclut l'intelligence artificiel puis elle diffusa le 2 ieme concerto pour piano de RACHMANINOFF qui provoquait l'assoupissement de la fille brune a tout les coups.
Elle ne résista pas longtemps, elle réva d'une fillette qui dansait dans les rues d'une citée abandoné, et d'un ours en pelûche....mais c'était plus un rêve...
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- Carl Seydlitz
- Messages : 426
Le vagabond esquissa un sourire...sous son masque à gaz...
Ce masque devenait une deuxième peau...une armure...un visage, le symbole de qui il était vraiment.
Il ressortit de la tente où ils avaient improvisé une autopsie.
Le pauvre Olikho n'avait pas eut de chance, fractures de fatigue, épuisement générale et un accident de voiture...l'insomniaque l'avait frappé sur la tempe, et il était mort sous le coup...
Le chagrin de Fran était encore perceptible et le vagabond ce dit qu'il y avait encore des gens qui méritaient qu'on se battent pour eux...mais il se sentait incapable de la réconforter...la dernière fois qu'il l'avait fait...euh?!...et bien disons que ça avait très mal finie.
Il se contenta a se taire...et le canadien a la main tendue reviendrai.....dans pas longtemps...
Le vagabond se demanda qui était tout ces gens, les survivants étaient tellement différents et étrange.
Sa mission serai plus compliqué que prévu, mais il aimait la complexité.
L'analyse première était de penser a une névrose cathartique générale...la catastrophe de cette pandémie qui avait ravagé la terre....7 milliards de gens au tapis..les survivants ne pouvaient se sentir bien...et ceux qui se sentaient bien, devais déjà être passablement givré avant.
Fran était un sujet fascinant a elle toute seule, désir de bien faire, cherchant un but sur cette île des morts, elle commençait a entrevoir une partie de la réalité...son aura était fluctuant et parfois il devinait l'ombre glacé de son regard...une balance !?
Il y avait un dessin comme celui des balances des commerçant de l'ancien monde.
Le vagabond réfléchit un instant a que celà pouvait bien signifier puis il fut presque surpris par l'irruption de celui qu'il venait d'autopsier....il était là...olikothora....le vagabond lui tendit la main...
L'homme désespéré avait été ressuscité par une puissance supérieure; peut être la lune ?
Le vagabond regarda la lune et ce dit qu'elle devait savoir un secret...il repensa a la fille qui dansait sous sa lumière...et c'est ce qui le fit sourire...
Ce masque devenait une deuxième peau...une armure...un visage, le symbole de qui il était vraiment.
Il ressortit de la tente où ils avaient improvisé une autopsie.
Le pauvre Olikho n'avait pas eut de chance, fractures de fatigue, épuisement générale et un accident de voiture...l'insomniaque l'avait frappé sur la tempe, et il était mort sous le coup...
Le chagrin de Fran était encore perceptible et le vagabond ce dit qu'il y avait encore des gens qui méritaient qu'on se battent pour eux...mais il se sentait incapable de la réconforter...la dernière fois qu'il l'avait fait...euh?!...et bien disons que ça avait très mal finie.
Il se contenta a se taire...et le canadien a la main tendue reviendrai.....dans pas longtemps...
Le vagabond se demanda qui était tout ces gens, les survivants étaient tellement différents et étrange.
Sa mission serai plus compliqué que prévu, mais il aimait la complexité.
L'analyse première était de penser a une névrose cathartique générale...la catastrophe de cette pandémie qui avait ravagé la terre....7 milliards de gens au tapis..les survivants ne pouvaient se sentir bien...et ceux qui se sentaient bien, devais déjà être passablement givré avant.
Fran était un sujet fascinant a elle toute seule, désir de bien faire, cherchant un but sur cette île des morts, elle commençait a entrevoir une partie de la réalité...son aura était fluctuant et parfois il devinait l'ombre glacé de son regard...une balance !?
Il y avait un dessin comme celui des balances des commerçant de l'ancien monde.
Le vagabond réfléchit un instant a que celà pouvait bien signifier puis il fut presque surpris par l'irruption de celui qu'il venait d'autopsier....il était là...olikothora....le vagabond lui tendit la main...
L'homme désespéré avait été ressuscité par une puissance supérieure; peut être la lune ?
Le vagabond regarda la lune et ce dit qu'elle devait savoir un secret...il repensa a la fille qui dansait sous sa lumière...et c'est ce qui le fit sourire...
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- Carl Seydlitz
- Messages : 426
jour 24
Nous sommes là depuis presque un mois et je commence a me demander ce qu'on fout là !
Les Hommes commencent a râler, ils ne comprennent pas pourquoi on ne nous utilisent pas dans une mission plus dynamique, comme en Roumanie ou sur le front polonais.
En tout est pour tout, on a vu un infecté...enfin une personne qui avez les symptômes de la maladie.
Ils l'ont embarquez dans un véhicule NBC et on a pas eut de nouvelles...des mecs en tenues noires avec des masques et pas un merci !
Je me demande ce qu'ils en font ?
Whiskeyjar la médic de l'équipe m'a dit qu'il valait mieux pas qu'on le sache...j'ai regardé la grande rousse de cornouaille et elle a reculée....je crois qu'elle a crut que j'allai la frapper...
C'est ces mecs en noirs que j'aurai dut cogner.
jour 28
Les pti gars voulaient de l'action et ils ont été servit !
La veille, de violentes explosions ont frappé le périmètre de l'aéroport, explosifs militaires causant une troué dans le dispositif de sécurité de 100 mètres....et une infiltrations de commandos que les néo-zélandais ont repoussé avec peine et grâce a l'intervention des deux alpha-teams sur zone.
Les bulldogs et la "hellish fray", une équipe internationale commandé par un type efféminé.
C'est surtout roger; le contrôleur TOMCAT qui a dirigé la "team", j'avoue avoir fait mes preuves en territoire Z, mais le combat contre d'autres humains, c'est pas mon truc !
J'ai neutralisé un mec habillé bizarrement, cagoule noire et gilet d'armement avec des sacs dans le dos.
Bagpipe m'a dit que c'était un "spetnaze"...quoi !? j'ai pas compris...et que j'ai eut de la chance !
En poursuivant les assaillants le lendemain matin, on est tombé dans une embuscade et perdus trois hommes dont le contrôleur hooligan, un petit gars de liverpool sympa et qui était avec nous depuis Copenhague...il s'appelait Anthony...Antoine comme mon frangin...il aurait pas dut mourir dans ce merdier...on est là pour aider avec cette maladie...pas pour la politique....merde !
jour 33
Trois membres de la team ont déserté avec un bon quart du bataillon néo-zélandais....Medium, Korn et Cougar...ils ont filé...pour retourner a l'ouest...où les nouvelles du front sont pas bonnes...des masses de réfugiés fuient la maladies...les soldats tirent a la frontière entraînant plus de chaos...ils fuient les infectés....ceux que je répugnent a qualifier de Zombie....j'avais pas remarqué qu'on est en Mai...[
Nous sommes là depuis presque un mois et je commence a me demander ce qu'on fout là !
Les Hommes commencent a râler, ils ne comprennent pas pourquoi on ne nous utilisent pas dans une mission plus dynamique, comme en Roumanie ou sur le front polonais.
En tout est pour tout, on a vu un infecté...enfin une personne qui avez les symptômes de la maladie.
Ils l'ont embarquez dans un véhicule NBC et on a pas eut de nouvelles...des mecs en tenues noires avec des masques et pas un merci !
Je me demande ce qu'ils en font ?
Whiskeyjar la médic de l'équipe m'a dit qu'il valait mieux pas qu'on le sache...j'ai regardé la grande rousse de cornouaille et elle a reculée....je crois qu'elle a crut que j'allai la frapper...
C'est ces mecs en noirs que j'aurai dut cogner.
jour 28
Les pti gars voulaient de l'action et ils ont été servit !
La veille, de violentes explosions ont frappé le périmètre de l'aéroport, explosifs militaires causant une troué dans le dispositif de sécurité de 100 mètres....et une infiltrations de commandos que les néo-zélandais ont repoussé avec peine et grâce a l'intervention des deux alpha-teams sur zone.
Les bulldogs et la "hellish fray", une équipe internationale commandé par un type efféminé.
C'est surtout roger; le contrôleur TOMCAT qui a dirigé la "team", j'avoue avoir fait mes preuves en territoire Z, mais le combat contre d'autres humains, c'est pas mon truc !
J'ai neutralisé un mec habillé bizarrement, cagoule noire et gilet d'armement avec des sacs dans le dos.
Bagpipe m'a dit que c'était un "spetnaze"...quoi !? j'ai pas compris...et que j'ai eut de la chance !
En poursuivant les assaillants le lendemain matin, on est tombé dans une embuscade et perdus trois hommes dont le contrôleur hooligan, un petit gars de liverpool sympa et qui était avec nous depuis Copenhague...il s'appelait Anthony...Antoine comme mon frangin...il aurait pas dut mourir dans ce merdier...on est là pour aider avec cette maladie...pas pour la politique....merde !
jour 33
Trois membres de la team ont déserté avec un bon quart du bataillon néo-zélandais....Medium, Korn et Cougar...ils ont filé...pour retourner a l'ouest...où les nouvelles du front sont pas bonnes...des masses de réfugiés fuient la maladies...les soldats tirent a la frontière entraînant plus de chaos...ils fuient les infectés....ceux que je répugnent a qualifier de Zombie....j'avais pas remarqué qu'on est en Mai...[
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- Carl Seydlitz
- Messages : 426
La troué s'étendait sur prés de vingt kilomètre de long et quatorze de large.
Ce n'était que succession de jardins, bouze-blocs, et lieux de loisirs....le lac intérieure valait le coup d'oeil... un lac sur le pont 358 du phénix, un étang en orbite, une mare dans l'espace...
La machine avait modelé une zone de stockage pour les humains, ils avaient besoin d'un endroit...pour oublier....la terre...se détendre....faire du sport au grand air....ou presque...
La planche portait l'ADJ Clarks, sur l'eau calme, et sous le soleil artificielle qui éclairait la troué et donnait une lumière de fin d'été.
Idéal pour se baigner, mais le bikini en électro tissu était conçut pour le bain de soleil sur une plage...mais Ayuna c'était dit que sur le lac...
L'électro-tissu permettait un bronzage sans marque et le tissu fonctionnait comme un écran où l'on pouvait projeter les images de son choix, Ayuma avait choisit un tableaux de Pollock, un peintre maudit, natif de la ville de sa mère...sur la planète bleue...
Ayuna n'avait pas connu la terre, a peine ses parents.
Elle releva ses lunettes de soleil polarisé, pour regarder les enfants qui joué dans l'eau sous la surveillance de leurs nounous robotique...elle se demanda ce que c'était de porter un enfant...l'élever avec un compagnon et .....ce devait être tellement bizarre...
Maya, sa meilleure amie, une germano-argentino-brésilienne s'était procuré un permis vert A2 et elles étaient resté toute une nuit devant un écran qui présentaient les caractéristiques du spermes de 50000 candidats....puis elles avaient bu de la bière aux reflets bleus et s'étaient endormis.
Ayuna ne savait pas trop....porter un enfant pouvez vous faire grimpez un échelon ou deux au détriment de...quelques mois....elle eut un haut le coeur...en repensant a la bière....oui c'était la bière...
Un cailloux rebondit sur l'eau a quelques mètres de la jeune américano-japonaise, elle sauta de sa planche en hurlant :
"HOLY FUCKING SHIT" et se retrouva dans l'eau, entouré d'étincelle, d'un bikini qui venait de disjoncté...furieuse et trempée elle tapa de ses poings l'eau qui lui arrivait a mi cuisse...." et puis merde !" dit-elle en examinant le haut du bikini qui était redevenu tout blanc.
Un autre cailloux rebondit sur l'eau....une,deux,trois, quatre,....elle perdit le compte a neuf...émerveillé par ce nouveaux jouets, elle se dit qu'elle en voulait un....elle chercha l'origine du phénomène.
Sur le rivage, un attroupement, un homme entouré d'une troupe d'enfant qui avaient délaissé leurs nounous artificielles hautement perfectionné et ultra-distrayante.
Ce jouet doit être une plaquette anti-grav miniaturisé et bourré d'électronique, pensa t'elle en s'approchant...comment les scientifiques pouvaient tester ce genre de choses dans cette endroit.
-Non, c'est un cailloux dit l'homme aux enfants, regarder celui là dit il en désignant le rivage "il est plat, je vais faire 10 ricochets avec !"
Ayuna se planta dans la troupe d'enfants et fixa son regard sur le cailloux....le type fit un geste pour dégager un espace entre lui et l'eau et avec un geste bizarre il le projeta vers la surface de l'eau.
Le caillou prit une trajectoire curieuse et ricocha sur l'eau, chaque ricochet créer des vagues qui s'entrechoquait et créer de nouvelle vagues a l'infini....c'était merveilleux ! un caillou ! une pierre !?
-Non les gamins reprit l'homme, un galet et de l'entrainement, c'est tout....vous voulez un caillou miss ? demanda t'il a fille adulte qui souriait bêtement aux milieux des mômes.
Elle sortit de son émerveillement et reconnu son voisin...le chûteur dans une combinaison grises et elle s'aperçut qu"elle était a moitié nue...elle rougit jusqu'au oreilles et bafouilla.
Une vague de sentiment percuta son coeur, un ricochet dans l'espace...il y eut un petit choc électrique quand il toucha son épaule pour voir si elle allait bien, un coup de foudre.
"Ouch....vous êtes électrique miss !? " dit-il en souriant
Elle le regardait fasciné...c'était bien lui...elle le connaissait...enfin son frère adoptif le connaissait et il lui avait présenté le Français.
A l'époque elle avait neuf ans et ne comprenait pas pourquoi Vadec devait partir pour toujours...elle pleurait et le type lui avait dit:
"C'est normal de pleurer, si tu n'as pas une pierre a la place du coeur, tu nous reverra miss..."
Un ricochet....un caillou lancé sur une trajectoire dans l'espace et le temps...une trajectoire parabolique....vingt ans plus tard, une larme coulas sur la joue d'ayuna...
Ce n'était que succession de jardins, bouze-blocs, et lieux de loisirs....le lac intérieure valait le coup d'oeil... un lac sur le pont 358 du phénix, un étang en orbite, une mare dans l'espace...
La machine avait modelé une zone de stockage pour les humains, ils avaient besoin d'un endroit...pour oublier....la terre...se détendre....faire du sport au grand air....ou presque...
La planche portait l'ADJ Clarks, sur l'eau calme, et sous le soleil artificielle qui éclairait la troué et donnait une lumière de fin d'été.
Idéal pour se baigner, mais le bikini en électro tissu était conçut pour le bain de soleil sur une plage...mais Ayuna c'était dit que sur le lac...
L'électro-tissu permettait un bronzage sans marque et le tissu fonctionnait comme un écran où l'on pouvait projeter les images de son choix, Ayuma avait choisit un tableaux de Pollock, un peintre maudit, natif de la ville de sa mère...sur la planète bleue...
Ayuna n'avait pas connu la terre, a peine ses parents.
Elle releva ses lunettes de soleil polarisé, pour regarder les enfants qui joué dans l'eau sous la surveillance de leurs nounous robotique...elle se demanda ce que c'était de porter un enfant...l'élever avec un compagnon et .....ce devait être tellement bizarre...
Maya, sa meilleure amie, une germano-argentino-brésilienne s'était procuré un permis vert A2 et elles étaient resté toute une nuit devant un écran qui présentaient les caractéristiques du spermes de 50000 candidats....puis elles avaient bu de la bière aux reflets bleus et s'étaient endormis.
Ayuna ne savait pas trop....porter un enfant pouvez vous faire grimpez un échelon ou deux au détriment de...quelques mois....elle eut un haut le coeur...en repensant a la bière....oui c'était la bière...
Un cailloux rebondit sur l'eau a quelques mètres de la jeune américano-japonaise, elle sauta de sa planche en hurlant :
"HOLY FUCKING SHIT" et se retrouva dans l'eau, entouré d'étincelle, d'un bikini qui venait de disjoncté...furieuse et trempée elle tapa de ses poings l'eau qui lui arrivait a mi cuisse...." et puis merde !" dit-elle en examinant le haut du bikini qui était redevenu tout blanc.
Un autre cailloux rebondit sur l'eau....une,deux,trois, quatre,....elle perdit le compte a neuf...émerveillé par ce nouveaux jouets, elle se dit qu'elle en voulait un....elle chercha l'origine du phénomène.
Sur le rivage, un attroupement, un homme entouré d'une troupe d'enfant qui avaient délaissé leurs nounous artificielles hautement perfectionné et ultra-distrayante.
Ce jouet doit être une plaquette anti-grav miniaturisé et bourré d'électronique, pensa t'elle en s'approchant...comment les scientifiques pouvaient tester ce genre de choses dans cette endroit.
-Non, c'est un cailloux dit l'homme aux enfants, regarder celui là dit il en désignant le rivage "il est plat, je vais faire 10 ricochets avec !"
Ayuna se planta dans la troupe d'enfants et fixa son regard sur le cailloux....le type fit un geste pour dégager un espace entre lui et l'eau et avec un geste bizarre il le projeta vers la surface de l'eau.
Le caillou prit une trajectoire curieuse et ricocha sur l'eau, chaque ricochet créer des vagues qui s'entrechoquait et créer de nouvelle vagues a l'infini....c'était merveilleux ! un caillou ! une pierre !?
-Non les gamins reprit l'homme, un galet et de l'entrainement, c'est tout....vous voulez un caillou miss ? demanda t'il a fille adulte qui souriait bêtement aux milieux des mômes.
Elle sortit de son émerveillement et reconnu son voisin...le chûteur dans une combinaison grises et elle s'aperçut qu"elle était a moitié nue...elle rougit jusqu'au oreilles et bafouilla.
Une vague de sentiment percuta son coeur, un ricochet dans l'espace...il y eut un petit choc électrique quand il toucha son épaule pour voir si elle allait bien, un coup de foudre.
"Ouch....vous êtes électrique miss !? " dit-il en souriant
Elle le regardait fasciné...c'était bien lui...elle le connaissait...enfin son frère adoptif le connaissait et il lui avait présenté le Français.
A l'époque elle avait neuf ans et ne comprenait pas pourquoi Vadec devait partir pour toujours...elle pleurait et le type lui avait dit:
"C'est normal de pleurer, si tu n'as pas une pierre a la place du coeur, tu nous reverra miss..."
Un ricochet....un caillou lancé sur une trajectoire dans l'espace et le temps...une trajectoire parabolique....vingt ans plus tard, une larme coulas sur la joue d'ayuna...
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- Carl Seydlitz
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Disruption foudroyante de l'ombre extérieure
Et bien...cette fois c'etait pas loin, quand j'ai regardé les 14 corps des insomniaques a mes pieds...je ne me suis pas senti si bien; depuis ? Depuis la conquète de Brazador avec les arpenteurs ? Non ! Ou la campagne dans TEAL AL FEDHOR ?
Je ne sais plus, les voyages dans les nuées irisés de l'ether m'ont épuisé; je disjoncte ! Je suis dans un champ près de stary sobor, pas dans un voyage glorieux de la compagnie du multivers....voyageur, voyageuse, il commence au pas de ta maison. Wouff et le gitan me regarde etrangement...Mes compagnons ? Je ne sais plus, je ne sais pas, je suis perdu...
Le fléau ? Je contemple l'étendue herbeuse, close par des barbelés et les tentes que nous avons installé pour en faire le marché de la sobor, où est watson ? J'ai une envie incontrolable de....lui criez dessus ! Pourquoi ? Peut etre un échos chuchoté du multivers ma transpercé ? Suis je bléssée, atteinte par le trait vengeur de ce cher écrivain ? Je suis comme le pantin d'un marionettiste qui voit parfois les fils. où est il ce magicien de pacotille ? Je sais qu'il est vain de le cherché dans l'immensité. du vieu noyau au bordure rugissante de...la lune ?! Je range l'épée dans son fourreau...je me demande si je vais un jour baptisé ma vielle compagne d'acier... valerium ! Valium ? Non je cherherai ce soir a frontière un nom digne de ma froide amie....j'ai envie d'une tasse de café !
Les recherches sont si longue et la prochaine tempete de portails les anéantiras, je me sens vidé de ma volonté, comme quand cette ouragans d'ether a dispérsé ma bibliothèque aux quatres coins de....de...de cette ile des morts, la prison d'obsidienne onirique. Ma main tremble crispé sur le stylo que wouff...
NON CA C'EST LE FUTUR BABY ! Dit une voix enfantine venus de nulle part...Il y a une noirceur dans mes veines, une soif qui taraude mon coeur, et coule comme un fiel d'albatre dans les méandres de mon ame...je devrai demander au docteur ce qu'il en pense et...je me crispe sur le couteau qui déchire la chair du loup blanc.....grrrrrr.....grrrrr je le massacre ce putain de fils de p.....danse sous la lune !! J'ai vu ce louveteau naitre.....je ne devrai pas....je suis......je suis calme....le docteur m'a dit de noter mes réves...les réalités s'entrechoquent....où est watson ! Frontière d'acier ! La brume !
J'entend les voix de l'escouade des terres sombres qui....
ALLEZ BABY PASSE A LA VITESSE LUMIERE, ONE TO BEAM DOWN hurle la voix de l'enfant, iritée comme si elle a une chose imperative a faire.
Le docteur ote son masque a gaz en desserant les courroies de cuir puis le casque et regarde enfin son reflet dans le rétro-viseur...il ne se souvient pas etre monté dans la voiture....des gouttes de sueurs dégoulinent sur son visage.
Il a comme un malaise qui le saisit....il croit comprendre ce qui vient de se passer...transfert empathique, il a eut un aperçu de l'ombre de fran ou quelque chose de ce genre....Il faut que j'élabore une stratégie pour aborder le sujet délicatement avec la jeune femme pense t'il et....
-hé mais c'est quoi ca ! Dit'il en apercevant le cone de lumiére qui illumine la bagnole dans la nuit...et le poursuit comme d'un hélicoptére; la lumière est d'une blancheur laiteuse, glacée, impitoyable; il décide d'accélérer....de s'échappez de ce mauvais présage...non pas maintenant crache t'il entre ses dents.
-saloperie de lumière !
Elle est de plus en plus blanche, sur le chemin qui le raméne au dispensaire. La lada s'arréte doucement, un flash et c'est finis....Le docteur a disparu;
Un petit pastiche de....héhéhé pour clore ce chapitre de la chronique, merci a tous pour le soutien et toutes ses meveilleuses histoires qui peuplent le forum et notre immaginaire....
Et bien...cette fois c'etait pas loin, quand j'ai regardé les 14 corps des insomniaques a mes pieds...je ne me suis pas senti si bien; depuis ? Depuis la conquète de Brazador avec les arpenteurs ? Non ! Ou la campagne dans TEAL AL FEDHOR ?
Je ne sais plus, les voyages dans les nuées irisés de l'ether m'ont épuisé; je disjoncte ! Je suis dans un champ près de stary sobor, pas dans un voyage glorieux de la compagnie du multivers....voyageur, voyageuse, il commence au pas de ta maison. Wouff et le gitan me regarde etrangement...Mes compagnons ? Je ne sais plus, je ne sais pas, je suis perdu...
Le fléau ? Je contemple l'étendue herbeuse, close par des barbelés et les tentes que nous avons installé pour en faire le marché de la sobor, où est watson ? J'ai une envie incontrolable de....lui criez dessus ! Pourquoi ? Peut etre un échos chuchoté du multivers ma transpercé ? Suis je bléssée, atteinte par le trait vengeur de ce cher écrivain ? Je suis comme le pantin d'un marionettiste qui voit parfois les fils. où est il ce magicien de pacotille ? Je sais qu'il est vain de le cherché dans l'immensité. du vieu noyau au bordure rugissante de...la lune ?! Je range l'épée dans son fourreau...je me demande si je vais un jour baptisé ma vielle compagne d'acier... valerium ! Valium ? Non je cherherai ce soir a frontière un nom digne de ma froide amie....j'ai envie d'une tasse de café !
Les recherches sont si longue et la prochaine tempete de portails les anéantiras, je me sens vidé de ma volonté, comme quand cette ouragans d'ether a dispérsé ma bibliothèque aux quatres coins de....de...de cette ile des morts, la prison d'obsidienne onirique. Ma main tremble crispé sur le stylo que wouff...
NON CA C'EST LE FUTUR BABY ! Dit une voix enfantine venus de nulle part...Il y a une noirceur dans mes veines, une soif qui taraude mon coeur, et coule comme un fiel d'albatre dans les méandres de mon ame...je devrai demander au docteur ce qu'il en pense et...je me crispe sur le couteau qui déchire la chair du loup blanc.....grrrrrr.....grrrrr je le massacre ce putain de fils de p.....danse sous la lune !! J'ai vu ce louveteau naitre.....je ne devrai pas....je suis......je suis calme....le docteur m'a dit de noter mes réves...les réalités s'entrechoquent....où est watson ! Frontière d'acier ! La brume !
J'entend les voix de l'escouade des terres sombres qui....
ALLEZ BABY PASSE A LA VITESSE LUMIERE, ONE TO BEAM DOWN hurle la voix de l'enfant, iritée comme si elle a une chose imperative a faire.
Le docteur ote son masque a gaz en desserant les courroies de cuir puis le casque et regarde enfin son reflet dans le rétro-viseur...il ne se souvient pas etre monté dans la voiture....des gouttes de sueurs dégoulinent sur son visage.
Il a comme un malaise qui le saisit....il croit comprendre ce qui vient de se passer...transfert empathique, il a eut un aperçu de l'ombre de fran ou quelque chose de ce genre....Il faut que j'élabore une stratégie pour aborder le sujet délicatement avec la jeune femme pense t'il et....
-hé mais c'est quoi ca ! Dit'il en apercevant le cone de lumiére qui illumine la bagnole dans la nuit...et le poursuit comme d'un hélicoptére; la lumière est d'une blancheur laiteuse, glacée, impitoyable; il décide d'accélérer....de s'échappez de ce mauvais présage...non pas maintenant crache t'il entre ses dents.
-saloperie de lumière !
Elle est de plus en plus blanche, sur le chemin qui le raméne au dispensaire. La lada s'arréte doucement, un flash et c'est finis....Le docteur a disparu;
Un petit pastiche de....héhéhé pour clore ce chapitre de la chronique, merci a tous pour le soutien et toutes ses meveilleuses histoires qui peuplent le forum et notre immaginaire....
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