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Hepha
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Présentation RP Dimitri Enkidiev Empty Présentation RP Dimitri Enkidiev

Lun 2 Jan - 14:31
HRP je m'appelle Léo, j'habite dans le Nord, je fais des sport co, je veux être graphiste et j'aime MANGER putain. A part ça rien de spéciale sur moi, je suis un jeune chiant qui aime DayZ et qui y joue dès qu'il peux.

Pour mon RP je vous ai écrit un magnifique pavé que vous pourrez lire maintenant :

Mon nom est Dimitri Enkidiev. Je suis d’origine Russio-Hongroise. Mes parents, Nathanaël et Brussia ont émigré dans les années 1960, quelques temps après ma naissance. J’ai donc passé une grande partie de mon enfance en Angleterre. J’ai pus y apprendre la langue, et y étudier dans de meilleures conditions que celles qui auraient pus m’être fournie dans mon pays d’origine (car mon père vivait dans la région de Chernarus, une petite région perdue dans les steppes Ukrainiennes).
Après avoir passé quelques années en étant chef de chantier dans une boîte de construction de maisons de luxe, j’ai fini par changer de travail. C’était intéressant, mais se dire que des gens étaient en train de crever dans la rue pendant que toi tu construisais des maison de luxe à des “pauvres” bourges paumés pour lesquels il est difficile de finir le mois avec 25.000€, c’est pas vraiment super pour la conscience. Les mecs qui font ce boulot sont en vérités, soit des pauvres cons, soit des mecs vraiment forts d’esprit.
Ainsi j’ai retrouvé du travail dans l’exact opposé. J’étais architecte pour construire des maisons, des équipements et d’autres choses très utiles dans les pays d’afrique du Sud. C’était intéressant et pour une seule fois dans ma vie, je n’ai pas trouvé de “mais” à ce boulot. C’était enrichissant intellectuellement et j’ai trouvé mon compte dans l’aide que j’ai pus donner aux gens.
C’est dans un petit village perdu d’Afrique que j’ai rencontré la femme qui devint la mienne. C’était une personne vivant là-bas. Une “autochtone” comme ont dit si bien. Je n’aime pas ce genre de mots, je les trouvent coloniaux et agressifs au possible. Enfin voilà, après avoir épousé ma femme, je me suis installé là-bas. J’ai eu au total 3 enfants. Deux garçons et une fille. Aujourd’hui à l’heure ou je vous parle, le plus vieux, Edmond, aurait dû avoir 22 ans. Sa petite soeur Tara aurait dû en avoir deux de moins et le plus petit, Scott, aurait dû lui aussi en avoir encore une fois deux de moins. 18 ans, 20 ans et 22 ans. C’est tout de même triste pour un monde qui paraissait aussi beau pour moi et ma petite famille.
Quoi qu’il en soit, lorsque l’infection puis l’infestation ont débutés et que ces choses ont fini par envahir le monde entier, nous n’étions pas non plus à l’abri. Je m’en doutais et c’est pourquoi j’ai commencé à construire un abri là-bas en Afrique. Au début de tout cela, tout se passait bien. Nous croisions ces monstres par-ci par-là, rien de bien méchant. Nous les laissions passer sans broncher, sans faire aucun bruit et ils finissaient par nous laisser tranquille. Tout se passait pour le mieux. Nous avions alors  de la nourriture à volonté, de l’eau grâce à la rivière qui passait en contrebas et aussi la protection certaine du mur que nous avions construit tous ensemble grâce à ma formation d’architecte. Tout était parfait et rien ne pouvait changer. Nous avions alors tenu quelques temps. Quelques mois. Plus d’une année entière en fait. Mais comme à son habitude, l’imprévu est arrivé. Plus tard que nous aurions pus le penser, mais il est arrivé. Nous n’avions pas connaissance de toutes les possibilités de cette “renaissance” des morts. J’aurais peut-être dû regarder plus de films d’horreurs quand j’en avais la possibilité.
Tout s’est passé très vite et nous n’avons pas vraiment eu le temps de comprendre comment. Les morts n’avaient pas besoin d’être mordus pour bouger de nouveau. Et la mort naturelle peut arriver n’importe quand. Et elle est arrivée ce jour là. Exactement 457 jours après le début de notre nouveau Royaume personnel. Un vieille homme est mort dans sa couchette. Il a mordu sa fille, sa petite fille, sa femme et le mari de sa fille. Il y en avait déjà 5. Au cours de la nuit, notre infirmière s’est rendu sur la couchette du vieille homme. Il y en avait désormais 6 et la porte était désormais ouverte. La nuit leur as suffit. Tout le monde est mort. J’étais le seul en dehors de notre village cette nuit là. Ma femme, mes enfants, ils sont tous morts. Tous sont devenus ces monstres. à part mon fils qui a réussi à survivre et qui as pus me raconter tout ce qui s’était passé. C’était lui qui as pus reprendre dans ses bras l’infirmière et qui as dû l’achever pendant que les membres de sa famille se faisait dévorer dans leur sommeil. Edmond avait entendu les cris. Il a laissé la porte de la maison ouverte.
Je l’ai récupéré le matin, sur le haut des murs. Il m’a tout expliqué. J’ai eu beau le prendre dans mes bras, lui expliquer très sincèrement que ce n’était pas de sa faute, qu’il ne pouvait pas savoir. Qu’il ne pouvait pas faire autrement et qu’il as tout de même tenté de bien agir, il ne m’écoutais pas. Rongé par sa haine de lui même, il se laissa tomber du haut du mur.
Je ne pouvais rien faire.
J’ai alors regardé ma famille manger les restes de mon fils.

Après quelques temps de dérivent sur le continent, j’ai trouvé une voiture qui roulait plutôt bien. J’ai pris la route pour me diriger vers Chernarus. Peut-être que là-bas, je pourrais retrouver ma famille. Enfin, je n’y comptais pas trop.
J’ai donc pris la route pendant pas mal de temps. Me faisant chasser. Tantôt par un animal sauvage en manque de viande vraiment fraîche, tantôt par des hordes de zombies, attirés par le bruit du moteur de cette jolie LADA qui me servait de moyen de transport.
J’ai fait quelques rencontres intéressante. Mais jusqu’ici je n’ai pas eu besoin de tuer. Sauf si bien sur je parle de ces immondes créatures que tout le monde appelle désormais Zombies. Mais au moment ou j’écris ces lignes, je commence à voir la région de Chernarus. Je n’ai plus ma LADA à cause de quelques bandits mais ce n’est pas grave. Je retourne maintenant à mes origines. C’est aussi de là que l’infection à commencée, je comprendrais peut-être pourquoi j’ai dû me priver de ma famille pour continuer à vivre. Non, à survivre.
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